Meurtre dans une maison de retraite : il tue un autre résident avec son déambulateur
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Irrité par la présence d’un autre résident dans la buanderie, William Paschall, 71 ans, laisse éclater sa colère. Armé de son déambulateur, il lui assène plusieurs coups à la tête. Résultat : l’homme de 61 ans décède sur le coup. Il est retrouvé peu après par le personnel de la maison de retraite Salem Village Nursing and Rehabilitation, située dans l’Illinois.
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Un résident pris d’un violent accès de colère
Une dispute pour du linge sale qui tourne au drame. L’histoire paraît farfelue, pourtant elle est bel et bien réelle.
Appelée en urgence dans une maison de retraite de l’Illinois, la police découvre avec effroi le corps sans vie d’un homme de 61 ans. Celui-ci présente d’importantes blessures à la tête.
Pour cause, peu de temps auparavant, il a été violemment agressé par un autre résident. Selon les dires du personnel, William Paschall, 71 ans, se serait emporté après un désaccord à propos de l’utilisation de la machine à laver. Armé de son déambulateur, il a asséné plusieurs coups au visage de son interlocuteur, entrainant sa mort.
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L’attitude du personnel pointée du doigt
Appréhendé par la police, le septuagénaire a été placé en détention. Lui sont attribués les griefs suivants : « meurtre » ainsi que « coups et blessures aggravés contre une personne de 60 ans ou plus » . Il est actuellement emprisonné dans le comté de Will sans caution et attend son audience.
Étonnés par la tournure qu’a prise l’altercation, les proches de la victime pointent le personnel du doigt. Pourquoi ne sont-ils pas intervenus ?
Interrogés par les médias, ils expliquent avoir reçu un appel des gérants de la résidence leur signalant une vive altercation entre la victime et un autre résident. Ces derniers leur affirment ensuite que l’homme est tombé sur la tête, omettant de mentionner l’attaque.
« Je veux savoir pourquoi ? Pourquoi l’altercation n’a-t-elle pas été arrêtée ? Ils nous ont dit qu’il y avait un surveillant qui était là, mais qui n’avait pas pu interrompre la bagarre, parce qu’ils étaient ‘de très gros gars » , s’insurge la nièce de la victime.
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