Une mère de famille meurt tragiquement après que l’hôpital s’est trompé sur la dose de paracétamol
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Une mère de famille très malade a dû se rendre à un hôpital pour se faire soigner. Malheureusement, son traitement aurait fait plus de mal que de bien ! Suite à son décès prématuré, sa famille veut que la vérité éclate au grand jour. L’affaire se termine alors devant un représentant de la loi !
La mère de famille avait déjà une maladie rare !
La mère de famille en question, morte en 2017, s’appelait Laura Higginson. Elle avait 30 ans quand son médecin a détecté une menace de pneumonie chez elle. Le professionnel de santé l’a tout de suite intégrée dans l’hôpital Whiston, près de Liverpool, pour recevoir le traitement adéquat.
En plus de la pneumonie suspectée, cette mère de famille vivait également avec une maladie génétique très rare. Malgré le fait qu’elle ait déjà donné naissance à des enfants, son corps n’arrivait pas à se développer normalement. Pire, elle pesait moins de 30 kilos quand elle a été admise à l’hôpital !
Une fois sur place, les médecins donnent une dose normale de paracétamol à la mère de famille. D’après sa famille, elle aurait dû prendre la moitié, d’où la mention de « surdoses échelonnées ». Quelques jours après son traitement, Laura meurt de manière atroce chez elle ! Personne n’a pu la sauver !
Le mari de Laura est également un médecin. Mais il n’a pas vraiment remarqué que la dose de médicaments que sa femme prenait était anormale ! Selon ses dires, une septicémie accompagnée d’une défaillance multiviscérale ont eu raison d’elle. Elle aurait vomi beaucoup de sang avant de partir vers un monde meilleur !
L’enquêteur donne son verdict !
Comme on peut s’en douter, les proches de cette mère de famille ont porté plainte contre l’hôpital à Prescott. Cet établissement connaissait déjà ses antécédents, surtout son syndrome de Gitelmam. Les médecins auraient donc dû savoir que son cas ne ressemblait à aucun autre !
Pour ses proches, cette mère de famille est morte à cause de la négligence des médecins de l’hôpital Whiston. Ce dernier a pourtant déclaré qu’il s’agit d’une mort naturelle ! Après une enquête minutieuse, le coroner Simon Holder a rejeté les hypothèses des deux parties.
D’après ce coroner : « D’après les témoignages que j’ai entendus, du 5 au 7 avril, Laura Higginson a reçu des doses excessives et échelonnées de paracétamol alors qu’elle était patiente à l’hôpital de Whiston. Il n’a pas été prouvé, selon la prépondérance des probabilités, que cela ait contribué à sa mort quelques jours plus tard ».
Il ajoute aussi : « J’ai entendu la soumission du (Mersey and West Lancashire Teaching Hospitals NHS) Trust selon laquelle une conclusion de causes naturelles serait appropriée. Cette soumission est rejetée. Je ne peux pas non plus accepter la soumission de la famille selon laquelle la négligence doit être enregistrée comme une constatation ».
Les proches de cette mère de famille doivent se résigner !
Même si le coroner semble avoir évoqué un avis neutre, il penche toujours du côté de l’hôpital. Selon ses dires : « La définition de négligence dans ce contexte signifie un manquement grave à fournir une alimentation ou des liquides adéquats, ou à fournir ou procurer des soins médicaux de base, un abri ou de la chaleur à une personne en situation de dépendance ».
Cette mère de famille a reçu des soins médicaux normaux. Le coroner n’a pas non plus réussi à prouver qu’il s’agit d’une erreur flagrante. Ainsi, ses proches doivent la laisser reposer en paix et passer à autre chose !
