Son mari poignarde sa fille mais pour elle « ce n’est pas une mauvaise personne »
C’est une terrible histoire qui s’est passée dans une banlieue chic d’Adélaïde, en Australie. Une jeune fille a été sauvagement assassiné par son père dans la voiture. Des désaccords dans l’éducation de cette dernière semble à l’origine de la tragédie. Mais le plus étonnant, c’est que la mère continue de le soutenir et clame que « ce n’est pas une mauvaise personne ».
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Une jeune fille poignardée par son père
C’est dans une banlieue chic d’Adélaïde en Australie que ce drame a eu lieu. C’est dans une Mercedes-benz, garée à 250 mètres de la maison que la jeune étudiante de 21 ans, Sabrina Leka a trouvé la mort. Et l’assassin n’est autre que son propre père, Petrit Lekaj.
En effet, c’est un crime familial. Et la raison pour laquelle la jeune fille a été assassiné est plutôt étonnante. Sabrina était une jeune étudiante très brillante. Inscrite en médecine, elle pratiquait également le piano et un avenir prometteur lui était destiné. Malheureusement, le destin en a décidé autrement.
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« Ce n’est pas une mauvaise personne »
Plusieurs amies de Sabrina se sont confiées sur la mort de la jeune femme. L’une d’entre elle a expliqué : « Sabrina était très, très intelligente, et avait l’habitude d’être très exigeante. Elle disait tout le temps : « Non, je ferai mieux, j’irai plus haut » ».
Les enquêteurs ont donc découvert que ses parents étaient très durs avec elle et beaucoup trop protecteurs. Son père lui interdisait d’avoir un petit ami et voulait la garder auprès d’elle tout le temps. Une autre copine s’est exprimée : « Il l’interrogeait sans cesse pour savoir si elle avait un petit copain. Sabrina avait le sentiment qu’elle ne pourrait rien faire sans désobéir. Elle était hyper-stressée et envisageait de quitter la maison. »
Alors serait-ce l’annonce de quitter la maison qui lui a valu la mort ? Il est fort possible. La mère s’est confiée suite au décès de sa fille et confirme le pouvoir qu’a le père dans la maison au point même de le défendre : « Mon mari a tué ma fille, mais ce n’est pas une mauvaise personne ».
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