Linda De Sousa Abreu : la garde pénitentiaire de HMP Wandsworth est emprisonnée après avoir été filmée en train d’avoir des relations sexuelles avec un prisonnier
La vidéo d’une femme agent pénitentiaire nommée Linda De Sousa Abreu a rapidement fait le tour de la Toile. On la voit avoir des relations sexuelles avec un criminel ! Il n’en faut pas plus aux autorités pour l’inculper en raison de sa mauvaise conduite. Voici la raison pour laquelle elle a fait cette vidéo !
Linda De Sousa Abreu avoue ses méfaits !
Cette histoire a commencé en juin dernier, quand la vidéo de De Sousa a inondé les réseaux sociaux. Les images montrent son visage et celui d’un prisonnier. Un autre détenu tenait la caméra, tout en fumant une cigarette. Il a dit : « Les gars, nous avons marqué l’histoire, c’est ce que je vous dis ».
Peu de temps après, les autorités interpellent la garde pénitentiaire pour mauvaise conduite. D’abord, elle s’est défendue en disant qu’elle l’a fait sous la menace des deux criminels. Mais les faits montrent que De Sousa est parfaitement consentante ! Elle n’a plus d’autre choix que de tout avouer.
Nous ne savons pas pourquoi elle a choisi de faire cela avec des détenus. Mais son comportement a attiré la foudre de tous les responsables au sein de la prison de Wandsworth. Tetteh Turkson, du Service des poursuites de la Couronne, déclare : « Il s’agit d’une violation choquante de la confiance du public ».
D’après les autorités, De Sousa a tenté de s’envoler à Madrid avec son père. Mais les autorités ont pu l’arrêter à l’aéroport d’Heathrow ! Ce qui, encore une fois, confirme le fait qu’elle a tout planifié avec les prisonniers.
La décision du juge !
Lors de son procès, De Sousa n’a presque rien dit. D’après les informations officielles, elle a simplement confirmé son nom avant de reprendre sa place. Le parquet l’accuse d’avoir abusé de sa position afin de se livrer à des actes sexuels avec un condamné.
Le juge s’est adressé à De Sousa en disant : « Vous avez eu des relations sexuelles avec un prisonnier. Cela a compromis votre rôle d’agent et a constitué une faute qui porte atteinte à la discipline au sein de la prison et expose vos collègues à des risques accrus. Vous saviez que cette conduite était interdite et interdite pour une bonne raison ».
Il ajoute aussi : « D’après ce que je sais de vous, vous n’étiez certainement pas naïf à propos des médias ou des réseaux sociaux. Il devait être évident que l’enregistrement serait montré et partagé, au moins parmi les prisonniers de Wandsworth, où il ferait le plus de mal ».
Finalement, la jeune femme écope d’une peine de 15 mois d’emprisonnement. Toutefois, De Sousa va purger la moitié de sa peine en liberté conditionnelle. À cela s’ajoute le port d’un bracelet électronique pendant 190 jours en échange d’une réduction de peine de 95 jours.
De Sousa a détruit des années d’efforts !
Un responsable au sein de la prison de Wandsworth déclare que De Sousa « a notamment et gravement porté atteinte à l’effet positif qu’une femme agent de détention peut avoir dans un environnement masculin dans une prison pour hommes, et à la façon dont une femme agent de détention peut être perçue ».
Le gouverneur Andrew Davy a également déclaré : « Il a fallu de nombreuses années pour que le personnel féminin soit respecté et traité de manière professionnelle dans un environnement dominé par les hommes. L’action de ce prévenu a réduit à néant des années d’interactions positives et enrichissantes avec les prisonniers en moins d’une journée ».