Il tue son propre frère et se débarrasse de son corps d’une façon atroce
Un soixantenaire a tué son propre frère avec qui il se disputait régulièrement. Il l’aurait décapité puis se serait débarrassé du corps.
Il jette le corps par le balcon
Un drame est survenu en Italie. Mercredi 2 juillet au soir, aux alentours de 22 h 30 à Pannarano, un homme poignarde son frère. Il décapite le corps et le jette du haut d’un balcon. C’est en tout cas ce qu’a donné la reconstitution du meurtre par la police. La victime, Annibale, était un travailleur à l’usine. Son corps a été retrouvé avec plusieurs autres blessures importantes. Il avait 65 ans. Il aurait été tué pendant qu’il dormait, quelques heures après la fin de la dispute.
D’après des témoignages, Benito, son frère de 59 ans, aurait bu ce soir-là. Selon son médecin, il avait de sérieux problèmes d’alcoolisme. Selon le journal Il Giornale, des témoins disaient qu’ils auraient entendu les deux hommes se disputer violemment. L’un était en colère contre les fascistes. La raison principale de l’altercation n’est toutefois pas déterminée pour l’instant. Il l’aurait cependant attaqué avec un couteau de cuisine.
Il se disputait souvent avec son frère
Les policiers ont retrouvé le corps grâce à des témoignages de voisins et seraient allés arrêter Benito. Ce dernier se serait rendu sans opposer la moindre résistance. Le maire de la commune, Antonio Lavarone a dit que c’était » une personnalité particulière, il était également surveillé par les services sociaux « . « On n’aurait jamais pu penser qu’il en arriverait là. « Il a ajouté qu’il était » choqué et consterné « . Pourtant, contrairement à d’habitude, c’était une soirée plutôt tranquille.
En effet, plusieurs voisins rapportaient fréquemment que le quartier était au courant des nombreuses disputes entre les deux frères. La relation entre les deux frères est décrite comme une relation très compliquée. Hannibal avait pris sa retraite et était revenu dans le quartier habiter avec son frère. On parle de coexistence troublée et de querelles continues. Beaucoup ont entendu ce soir-là des cris, des bruits diverse puis un silence soudain. Personne n’aurait pu imaginer voir une tête en dessous du balcon quelques heures plus tard.