Furieuse des tromperies de son mari, elle le poignarde
C’est un fait divers bouleversant qui s’est déroulé il y a quelques jours. Comme le rapporte The Mirror, Christine, lassée par les infidélités de son mari a décidé de le poignarder. Ils étaient ensemble depuis plus de 21 ans.
Lassée par les infidélités de son mari, elle le poignarde
Christine et Michael ont partagé plus de 20 ans de vie commune, marquée par trois enfants et un quotidien en apparence paisible, rapporte The Mirror.
Malheureusement, en 2018, leur monde bascule lorsque Christine découvre que son mari la trompe avec une autre femme. Cette infidélité, qui a duré six semaines, a complètement bouleversé leur couple.
Malgré plusieurs tentatives de réconciliation, y compris une thérapie de couple et un renouvellement de leurs vœux de mariage, Christine n’a jamais réussi à tourner la page. De son côté, Michael, conscient de ses problèmes d’alcool, promet de se soigner, mais les tensions ne redescendent pas pour autant.
Rongée par la jalousie et la colère, Christine sombre peu à peu dans la violence, ce qui rend la vie de famille de plus en plus insupportable. Les disputes se multiplient, et des témoins affirment avoir vu Michael avec des bleus et le nez cassé.
Christine reconnue coupable par la justice
Le 28 janvier 2021, la situation dégénère tragiquement. Après une nouvelle dispute, Christine poignarde mortellement son mari avec un couteau de cuisine.
Leur fille de 16 ans, habituée aux altercations bruyantes de ses parents, met quelques instants avant de comprendre la gravité des événements.
Lors de son procès en juillet 2023, Christine tente de se justifier. Elle explique que Michael traversait à l’époque un épisode maniaque et qu’elle avait agi par peur, mais les preuves la contredisent. Les médecins légistes ont découvert plusieurs coups de couteau, et les témoignages de proches ont confirmé un climat de violence permanent.
En août 2023, Christine est reconnue coupable de meurtre au second degré et condamnée à la réclusion à perpétuité avec une possibilité de libération conditionnelle après 20 ans. Le juge a souligné l’absence totale de remords de sa part.