« J’ai une formation qui me permet de maîtriser des explosifs… et j’explose tout seul dans mon salon » un homme victime de sa cigarette électronique
En Essonne, un ancien barbouze a été victime de l’explosion de sa cigarette électronique. Alors qu’il se trouve dans son salon, sa cigarette électronique explose dans la poche de son pantalon. L’homme est brûlé au deuxième degré. Il déplore ce qui lui est arrivé dans les colonnes du Parisien !
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Sa cigarette électronique explose dans sa poche !
Manu est un ancien barbouze. Après des années à servir, l’homme profite aujourd’hui de sa famille. Mais la journée du 7 février n’a pas été de tout repos pour l’homme de 53 ans. Alors qu’il se trouve au domicile, en Essonne, sa cigarette électronique explose dans la poche de son pantalon. « J’étais dans mon salon, je tenais ma fille par la main droite. D’un coup, il y a eu une grosse explosion au niveau de ma jambe gauche » explique-t-il au Parisien. Il se rappelle avoir retiré rapidement son pantalon, et avoir regardé par la porte qui se trouvait en face lui : « J’ai pensé qu’on m’avait tiré dessus » explique l’homme. Finalement, il se rendra compte que la cause de cette explosion, c’est sa cigarette électronique.
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« Il y avait de la fumée toxique partout » : l’homme brûlé au second degré !
Heureusement, sa fille a échappé à l’explosion. Mais pour Manu, les conséquences sont importantes. L’homme a été brûlé au deuxième degré lors de l’explosion sur la jambe gauche. Sa main et sa jambe droite ont été touchées au premier degré. Depuis, l’homme se déplace en béquille et doit recevoir des soins réguliers de la part d’une infirmière. Mais pour cet ancien barbouze, son sort est presque ironique. « J’ai esquivé des mines antipersonnel en ex-Yougoslavie et en Angola, j’ai une formation paramilitaire qui me permet de maîtriser des explosifs, j’ai manipulé de la TNT, j’ai pris des bastos dans le ventre… Et je me retrouve à exploser tout seul dans mon salon » explique-t-il.
Selon les informations du Parisien, la batterie faisait partie de la marque chinoise MXJO. L’homme compte bien mener l’enquête pour comprendre l’origine de l’explosion. Il a fait appel à un avocat. De son côté, la gérante du magasin qui a vendu la batterie rejette « toute responsabilité », comme le rapporte Le Parisien.
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Source : Le Parisien