Une jeune femme meurt de manière « barbare » après un BBL, le personnel médical « lui a donné du concombre alors qu’elle s’effondrait »
Avant de subir une intervention chirurgicale, il faut impérativement vérifier si l’établissement est apte à le faire. Sinon, cela pourrait se transformer en une tragédie. Une jeune femme nommée Demi Agoglia en a fait les frais, alors qu’elle voulait simplement se sentir belle ! Elle meurt quatre jours après l’opération !
L’état de santé de la jeune femme se dégrade très rapidement !
Après avoir « vu une célébrité » faire la pub d’un établissement de santé appelé Comfort Zone Surgery, Demi Agoglia décide de s’y rendre. Son objectif, bien évidemment, consiste à obtenir la taille de ses rêves en faisant un lifting brésilien. Pourtant, ses proches disaient que cette jeune femme n’en avait pas du tout besoin !
La maman de Demi déclare qu’elle était une « belle fille ». Mais elle souffrait aussi de problèmes mentaux, dont le trouble bipolaire et le TDAH. Ainsi, malgré l’interdiction de sa mère, la jeune femme réserve un billet d’avion des mois à l’avance et s’envole pour la Turquie.
Une fois sur place, elle et son partenaire Bradley Jones séjournent dans une belle villa. Par la suite, un taxi l’emmène à l’hôpital où un chirurgien l’attend de pied ferme. En rentrant chez elle, la jeune femme commence à trembler violemment. Son compagnon décide alors d’appeler les secours !
Même après le passage du personnel de Comfort Zone, son état ne s’est pas amélioré. Quand elle s’est effondrée, ils finissent par l’emmener à l’hôpital Avrasya. Sauf qu’elle était déjà trop faible quand elle est arrivée sur les lieux !
L’enquête ne mène à rien !
Les médecins déclarent qu’ils n’ont rien pu faire pour sauver Demi Agoglia. Le chirurgien de Comfort Zone a également affirmé qu’il a tout tenté pour assurer sa sécurité. Mais le fait est que la jeune femme est morte peu de temps après son intervention. Ainsi, la police a ouvert une enquête !
Dans un premier temps, le Dr Usha Chandran a fait l’autopsie de son corps. Malheureusement, il n’a pas pu déterminer la cause de son décès. Néanmoins, cette pathologiste dénonce la « mauvaise qualité » des procédures que la clinique a suivies.
D’après M. Pollard, l’enquêteur en chef : « Nous ne connaissons que peu ou rien de la situation périopératoire, car les autorités turques ont refusé de coopérer avec le processus coronarien ». Par contre, le fait que les infirmières auraient donné des concombres pour soulager la jeune femme semble suspect !
Il ajoute aussi : « Je trouve que les soins postopératoires ont varié, allant de lamentables à complètement inexistants. Lorsque la patiente a présenté des symptômes évidents de maladie grave, ceux-ci n’ont pas été immédiatement reconnus par son partenaire, ce qui est compréhensible, ni par les membres du personnel non qualifiés ».
La jeune femme ne savait pas ce qui l’attendait !
Toujours d’après l’enquêteur, Demi aurait pu être sauvée si elle avait reçu un traitement plus approprié. En guise d’exemple, la clinique aurait dû envoyer une ambulance pour l’emmener à l’hôpital. Mais cet établissement a simplement fait appel à un taxi !
Il ajoute aussi : « Je trouve qu’il n’y a pas eu de consentement éclairé approprié dans cette affaire, qu’il n’y a pas eu de soins et de conseils préopératoires appropriés, ni de soins postopératoires appropriés. Tout cela signifie que les soins dans leur ensemble étaient bien en deçà de la norme attendue pour ce type de traitement ».