Une femme dévoile les règles extrêmes imposées dans la secte de Raël (vidéo)
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Pendant plus de 20 ans, Lydia Hadjara a vécu sous l’emprise du mouvement raëlien, une secte fondée dans les années 70 par Claude Vorilhon : Raël. Mais les règles imposées aux femmes par cette dernière étaient d’une violence extrême.
Des règles extrêmes
Endoctrinée dès l’enfance par sa mère, Lydia Hadjara a grandi dans un univers où la vie sur Terre était censée avoir été créée par des extraterrestres, les Elohim. Mais derrière cette croyance, les règles imposées aux femmes étaient extrêmes.
Parmi les adeptes les plus proches de Raël, certaines femmes devaient se soumettre totalement à lui. Lydia Hadjara en faisait partie. Son rôle était de répondre à tous ses désirs, y compris les plus intimes, sans jamais pouvoir refuser.
Son apparence était strictement contrôlée : elle devait s’habiller comme il l’exigeait, se raser intégralement, et perdre du poids sur demande. Un autre point particulièrement troublant : elle ne devait jamais avoir ses règles lorsqu’elle rencontrait Raël.
Mais ce qui choque encore plus, c’est qu’elle a dû signer un contrat stipulant qu’elle n’avait le droit d’avoir des relations sexuelles qu’avec Raël, ou avec les Elohim lorsqu’ils reviendraient sur Terre.
Au fil du temps, l’emprise de Raël s’est renforcée, l’isolant complètement du monde extérieur. Elle a perdu son identité, sa liberté et sa santé mentale, piégée dans un système où elle n’avait plus aucun contrôle sur sa propre vie.
Aujourd’hui, Lydia Hadjara a réussi à s’en sortir et à briser le silence sur les abus qu’elle a subis. En racontant son histoire, elle espère alerter sur la manipulation psychologique et les violences cachées derrière ce mouvement.
