Elle enferme son compagnon nu sur le balcon, il meurt d’une hypothermie
En 2022, dans le sud du Japon, une femme enferme son compagnon sur le balcon. À cette époque, les températures avoisinent les 3 degrés la nuit. Contrairement à cet homme qui survit après s’être fait rouler dessus par un train, le compagnon est mort d’une hypothermie. Jugée pour meurtre, la femme nie les faits.

Elle enferme son compagnon nu sur le balcon
Dans la région de Nagasaki, au sud du Japon, les policiers n’en revenaient pas. En 2022 et en plein hiver, une femme de 54 ans enferme son mari sur le balcon de leur appartement. L’homme est nu, et passe la nuit complète dehors. Selon les enquêteurs, la femme a « ordonné à la victime de sortir sur le balcon alors qu’il était nu, et l’avait enfermé là » . Selon les médias locaux, la température était d’un peu plus de 3 degrés.
Mais passer une nuit dans le froid et sans vêtement, c’est très dangereux pour la santé. Grâce à un appel passé aux urgences, les policiers se rendent sur place. Et à leur arrivée, l’homme n’est plus sur le balcon, mais dans une pièce de l’appartement. Petit problème, le compagnon de 49 ans est retrouvé « presque mort » . Malgré les soins apportés par les policiers, il meurt d’hypothermie. Pour les enquêteurs, c’est la femme qui a assassiné son compagnon.
Elle nie les faits !
Arrêtée par la police, la femme de 54 ans nie les faits. Pour elle, son compagnon n’est pas décédé à cause d’elle. Pourtant, elle n’est pas inconnue de la justice. Avant d’avoir enfermé son partenaire nu sur le balcon, elle avait déjà commis des faits de violences conjugales.
Selon la police, la femme a déjà fait preuve de séquestrations et de menaces envers son compagnon… Notamment à l’aide d’un couteau. Dans le passé, l’homme de 49 ans a été pris en charge pour des blessures au visage. Si elle continue de nier les faits, la justice va devoir trancher. Elle est accusée de violences et de séquestration ayant causé la mort de son partenaire.
La justice devra également établir les motivations de la femme face à ses actes. Mais les échanges semblent difficiles. L’auteure des faits ne risque pas d’avouer son crime…