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Émile confondu avec un autre ? Cette hypothèse qui pourrait faire basculer l’enquête

Publié par Elodie GD le 10 Avr 2025 à 6:25

À l’heure où les soupçons se renforcent autour de la famille du petit Émile, les déclarations d’un témoin clé questionnent.

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La famille du petit Émile au cœur des soupçons

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Bientôt le fin mot de l’histoire ? Les derniers rebondissements sèment le doute. D’abord écartée, la famille du petit Émile est de nouveau ciblée par les enquêteurs. Les récentes arrestations des grands-parents et de deux de leurs enfants le soulignent : le drame intrafamilial est désormais la piste dominante. Un revirement qui étonne l’opinion publique autant qu’il scandalise. Pour cause, ceux qui suivent l’affaire de près étaient loin d’imaginer que la disparition du garçonnet puisse cacher un lourd secret.

D’autant qu’un témoin clé affirme avoir aperçu Émile déambulant dans le village le jour de sa disparition. Son grand-père se trouvait alors à proximité et coupait du bois, selon ses dires. Toutefois, les enquêteurs se questionnent : serait-il possible que celui-ci l’ait confondu avec un autre garçonnet un peu plus âgé ?

Emile confondu avec un autre ?
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Si tel était le cas, les investigations prendraient une tournure différente. Et au lieu de s’attarder sur la piste de la mort accidentelle, le périmètre des recherches se limiterait à la propriété de Philippe Vedovini et sa famille.

Le garçonnet victime de sa famille ?

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Depuis peu, les gendarmes en charge de l’enquête semblent privilégier une hypothèse horrifiante. Hypothèse que n’ont pas tardé à identifier les médias qui s’emparent du sujet : Émile aurait-il été victime de sa famille ? Rien n’est moins sûr. Face au doute, les enquêteurs n’écartent aucune piste et scrutent le clan Vedovini de près. L’occasion pour eux de replonger dans le passé violent du patriarche.

Auparavant employé dans l’institut Sainte-Croix de Riaumont, l’homme a marqué les esprits. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce n’est pas pour sa gentillesse, mais pour sa brutalité et son inclinaison pour les coups de pieds que les pensionnaires se le rappellent. « Soit c’était le coup de pied au cul. Soit c’était la claque qui arrivait derrière », rapporte un certain Bruno, lors d’une interview accordée à La Provence.

Si certains s’empressent de fustiger la famille, quelques éléments tendent à appuyer les dires du témoin. Lors des premières battues, les chiens de la brigade cynophile ont marqué au niveau d’un lavoir. Or, c’est à cet endroit que l’homme dit avoir aperçu le garçonnet. En attendant d’en savoir plus, les enquêteurs poursuivent leurs recherches et n’écartent aucune piste.

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