Elle pensait à une simple invasion d’asticots… la vérité l’a traumatisée
Après avoir fait face à une prolifération de mouches et d’asticots, cette Niçoise a enfin mis le doigt sur le problème.
Des asticots dans tous les recoins !
Un cadavre en décomposition ! Habituée à la tranquillité de son immeuble, Jocelyne ne comprend pas la subite apparition de mouche et d’asticots dans son appartement. Un phénomène qui, malgré ses efforts, ne cesse de s’aggraver. Interrogée dans les colonnes de Nice Matin, elle raconte : « L’autre jour, nous étions à table et un asticot est tombé de nulle part dans une assiette ». Un récit qui hérisse le poil des phobiques d’insectes.
Et son combat contre les nuisibles ne s’arrête pas là. À mesure des jours, Jocelyne constate la présence d’asticots qui sortent d’un interrupteur ou encore celle d’insectes dans son lit. À bout de nerf, elle sollicite des avis extérieurs.
« On nous a dit qu’il y avait sûrement un cadavre quelque part, mais ce qui est étrange, c’est qu’il n’y a aucune odeur », explique celle qui penche alors pour la théorie d’un rongeur en état de décomposition.
« Cela faisait cinq mois ! »
Le 20 mars 2025, les pompiers forcent la porte de son voisin du dessus. Alertés par sa fille, soucieuse face à l’absence de nouvelles, ils s’apprêtent à faire une macabre découverte. Retrouvé dans un état de décomposition avancé, le voisin de Jocelyne serait décédé depuis plusieurs mois déjà.
Une disparition passée inaperçue dans un premier temps, le locataire continuant de verser ses loyers par virements automatiques.
« Cela fait cinq mois que le cadavre de mon voisin du dessus se décomposait, je suis choquée », se lamente Jocelyne. Une nouvelle qui n’a pas manqué de la perturber, ainsi que le reste du voisinage. En attendant, une autopsie sera réalisée afin de déterminer les causes exactes de la mort. L’appartement du défunt sera entièrement nettoyé avant d’être remis en location.
Mi-décembre 2024, Jocelyne voit des asticots sortir de l’interrupteur de sa chambre à Nice sans parvenir à en trouver l’origine. Trois mois plus tard, elle découvre qu’ils proviennent de la dépouille de son défunt voisin.
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