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Elle noie sa belle-fille de 3 ans dans la machine à laver en l’attirant avec ses jouets

Publié par Elodie GD le 30 Jan 2025 à 18:35

Malgré les certitudes de la famille, la belle-mère d’Isabelly, 3 ans, continue de nier les faits qui lui sont reprochés.

Le destin tragique d’Isabelly

Elle avait la vie devant elle. À trois ans, Isabelly de Oliveira Assumpção vivait au Brésil entre le domicile de son père et sa belle-mère et celui de sa mère. Il arrivait souvent à la compagne de son père, Suzana Dazar dos Santos, de la garder quand celui-ci était au travail. Voyant que la garde se déroulait sans encombres, il partait l’esprit léger.

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Décès tragique d'Isabelly au Brésil

Cependant, tout a basculé le 7 mai 2022, quand Alex dos Santos Assumpção a dû regagner son domicile en urgence. Selon les indications fournies par les secours, sa fille de trois ans serait décédée des suites d’une noyade… dans la machine à laver !

Une mort singulière sur laquelle il a obtenu davantage de détails après les premières investigations.

Une belle-mère jalouse et possessive ?

Après reconstitution, les enquêteurs penchent pour le guet-apens. Ainsi, ils soupçonnent Suzana d’avoir attiré la fillette dans la buanderie en plaçant des jouets autour et à l’intérieur de la machine à laver remplie d’eau. Ce n’est pas tout : elle aurait placé un tabouret en plastique dans la buanderie pour qu’elle puisse accéder plus facilement à l’appareil. Puis, elle se serait absentée suffisamment longtemps pour qu’Isabelly tombe dans le tambour de la machine et se noie.

Une théorie que Suzana conteste. Si elle reconnaît s’être absentée, elle soutient qu’elle a fait au plus vite. Une rapidité qui n’aura pas suffi à éviter le drame. Elle indique ensuite avoir contacté les secours dès lors qu’elle a retrouvé la fillette inanimée. Une version des faits qui ne réussit pas à convaincre la mère de la petite victime.

Celle-ci soupçonne Suzana d’avoir été jalouse du lien qui unissait Isabelly et son père Alex. Elle accuse celle qu’elle décrit comme une femme possessive, d’avoir froidement orchestré le meurtre de sa fille. Une méfiance qui a fini par gagner le compagnon de Suzana qui se range désormais du côté de la mère et du reste de la famille.

« Le fait qu’elle ait passé plus de 30 minutes seule dans une buanderie dans ces circonstances graves. Toutes ces preuves dans les dossiers montrent qu’il s’agissait d’un acte délibéré de la part de la belle-mère« , soutient l’avocat de la famille. De son côté, le père de la fillette n’attend plus qu’une chose : que justice soit faite. « C’est une perte irréparable, je peux dire que je ne veux pas que quiconque vive ce que nous avons vécu », a-t-il confié au média RPC.

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