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Affaire Élisa Pilarski : les premiers doutes autour de l’appel qui a précédé la mort de la jeune femme ! (Vidéo)

Publié par Romane TARDY le 14 Mar 2020 à 10:41
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La suite après cette vidéo

Élisa Pilarski, morte dévorée par un ou plusieurs chiens, avait appelé son compagnon juste avant les faits pour le prévenir de la présence de chiens menaçants. Cependant, les propos de cet appel sont remis en doute. Découvrez ce nouvel élément dans la vidéo ci-dessous : 

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Quatre mois après le décès de Élisa Pilarski, on ne sait toujours pas quel chien s’en est pris à la jeune femme dans la forêt de l’Aisne. Son propre chien Curtis fait l’objet de soupçons ainsi que ceux de la chasse à courre. Toutefois, c’est un tout autre élément qui a été remis en question récemment. Il s’agit de son appel avec son compagnon avant sa mort. Elle lui signalait qu’elle était en présence de chiens menaçants et que l’un d’eux lui avait attrapé sa jambe.

L’appel entre Élisa Pilarski et son compagnon remis en question

Dans l’émission Crimes et faits divers de Jean-Marc Morandini, Maître Alexandre Novion, qui défend le compagnon d’Élisa Pilarski Christophe Ellul, était face à Maitre Guillaume Demarcq, qui représente Sébastien Van den Bergh, le maître d’équipage de la chasse à courre dans la forêt de Retz le jour de la mort de la jeune femme. Pour rappel, le maître d’équipage a demandé à être témoin assisté dans cette affaire.

L’avocat de ce dernier a fait une remarque des plus surprenantes : « Toute cette histoire est partie du fait qu’on a tenu pour acquis le contenu de la conversation entre Christophe et Elisa. Je soutiens qu’au vu du dossier, on peut avoir de grandes interrogations sur le contenu de cet appel » . L’avocat ne semble pas voir de concordance entre le temps de l’appel et son possible contenu : « On a pas la preuve du contenu mais on la preuve du début on a la preuve de la fin, on a la preuve de la durée » .

Des propos que l’avocat de Christophe Ellul n’a pas supportés. Il soutient que son client était à 70 kilomètres de Élisa Pilarski à ce moment-là et qu’il a essayé de la joindre 38 fois. Cela prouve, d’après lui, l’inquiétude de cet homme et son incapacité d’aller secourir la jeune femme.

Ce qu’il faut retenir, c’est que c’est la première fois que l’appel téléphonique précédant la mort est remis en question.

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