Affaire Elisa Pilarski : ce SMS pourrait enfin révéler toute la vérité !
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Le téléphone d’Elisa Pilarski a été analysé par les enquêteurs. Il révèle un SMS envoyé par Christophe Ellul ainsi que des photos de leur chien, Curtis, quelques minutes avant le drame. Des éléments qui accablent de nouveau l’animal.
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Rebondissement dans l’affaire d’Elisa Pilarski
Le 16 novembre 2019, Elisa Pilarski trouvait la mort dans la forêt de Retz, dans l’Aisne. Le téléphone de la jeune femme a fait l’objet d’une analyse par les enquêteurs. Les messages révélés par le téléphone ont mené à un échange entre la famille de la victime et son compagnon Christophe Ellul, lors d’une confrontation ce lundi 29 mars.
Depuis, Christophe Ellul a été mis en examen pour homicide involontaire de sa compagne, enceinte au moment des faits.
Le jour du drame, Christophe Ellul aurait envoyé un message à Elisa Pilarski. L’oncle de la victime indique : « À 13h35, alors que M. Ellul est en voiture pour gagner la forêt de Retz suite à l’appel de détresse de ma nièce à 13h19, il va envoyer un SMS à ma nièce dans les termes suivants : ‘Je le fais piquer’. Par ce seul SMS, il reconnaît que son chien est à l’origine du décès de ma nièce ».
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Un SMS qui montre la responsabilité de Curtis, le chien du couple
Cet unique message permet à l’entourage de comprendre que Christophe Ellul admet que Curtis est responsable. Pourtant, le compagnon de la victime a toujours remis en cause la responsabilité de son chien dans cet incident.
L’oncle d’Elisa Pilarski ajoute, face aux caméras de BFM TV, que le compagnon a dit qu’il « ne se rappelle pas l’avoir écrit ». Ainsi, le membre de la famille conclut : « Il dit qu’il ne sait plus (…) Il est dans le déni total ».
Dans le téléphone d’Elisa Pilarski, des photos de Curtis ont été prises lors de la balade, « cinq minutes avant qu’elle ne soit attaquée ». Ces images montrent le chien en laisse, mais non muselé. Un détail qui va à l’encontre des déclarations de M. Ellul, qui maintenait que Curtis était muselé, et par conséquent, que l’animal n’avait pas pu attaqué la jeune femme.
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