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École : la maîtresse envoyait des mails très coquins…

Publié par Justine le 27 Août 2020 à 14:16

Une maîtresse d’école en Seine-Maritime vient d’être condamnée pour avoir envoyé des mails douteux aux parents des élèves à qui elle enseignait. Coupable de harcèlement sexuel, le contenu de ses mails était obscène. Retour sur cette affaire.

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La maîtresse d'école envoyait des mails obscènes

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Une maîtresse d’école

Alors que la rentrée approche, une maîtresse d’école en Seine-Maritime ne va pas reprendre le chemin de l’école. Âgée de 53 ans, elle s’est rendue coupable de harcèlement sexuel et doit verser 300 euros avec sursis même si elle a été relaxée pour certains chefs d’accusation. Toutefois, une procédure disciplinaire a été ouverte à son encontre et elle a l’interdiction d’exercer une activité en lien avec des mineurs pendant 3 ans.

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En effet, l’institutrice est accusée d’avoir envoyé des mails obscènes aux parents d’élèves de maternelle pendant le confinement. En effet, la classe a une mascotte appelée « souricette », mais le 14 mai, elle décide d’envoyer une image de la souris « dans une position ambigüe », dévoile le site Actu.fr. À la fin du mail, l’institutrice indique que « ce mail est classé X et demandant aux parents s’ils apprécient cette position sexuelle ».

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La maîtresse d’école maternelle devant la justice

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Décrite comme « douce et patiente » par les parents d’élèves, la maîtresse d’école maternelle réitère en leur envoyant une photo « de son voisin entièrement nu » avec un message indiquant « qu’elle souhaite partager son intimité », dévoile la présidente de l’audience qui s’est tenue le 21 août. Ce n’est pas tout ! À la fin du mail, les parents d’élèves ont trouvé un lien qui mène à une vidéo de l’institutrice « en train de passer ses mains sur sa nuisette avec des bruits à caractère sexuel ».

Mais c’est avec une vidéo « montrant un enfant nu trouvant dommage de ne pas faire l’amour à l’école » que les parents alertent l’inspection académique. Elle est placée en garde à vue et reconnaît tous les faits qui lui sont reprochés. L’enquête a révélé que l’institutrice souffre d’hypomanie typique (un trouble de l’humeur) et présente de ce fait, un potentiel danger psychiatrique car son discernement est désaltéré lors des crises.

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