Mort d’Emile : la randonneuse qui a retrouvé son crâne s’exprime, « je ne crois pas… »
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Le 8 juillet 2023, les Français découvraient le visage du petit Emile, un jeune garçon de 2 ans qui s’est volatilisé alors qu’il jouait dans le jardin de ses grands-parents dans le Haut-Vernet.
Le 30 mars dernier, son crâne était retrouvé à seulement 2 kilomètres de leur domicile par une randonneuse. Et ce lundi 5 août 2024, celle qui est à l’origine de cette macabre découverte a accepté de se confier dans les colonnes du Parisien.
Une disparition émouvante
Le 8 juillet 2023, les grands-parents du petit Émile, un garçon de 2 ans, signalaient sa disparition aux autorités du village du Haut-Vernet. Alors qu’il jouait dans le jardin, le petit garçon s’est volatilisé après avoir échappé à la vigilance de ses grands-parents quelques secondes.
Malgré des recherches intensives et une enquête qui a duré des mois, Émile est resté introuvable. Le 30 mars 2024, lors du week-end de Pâques, l’affaire a pris un tournant tragique lorsqu’une randonneuse découvrit des ossements humains.
Les analyses ADN ont rapidement confirmé qu’il s’agissait des restes d’Émile, mort depuis plusieurs mois. Une terrible découverte qui mettait fin aux espoirs de retrouver le petit garçon en vie.
La randonneuse qui a découvert le crâne d’Emile prend la parole
Une découverte qui n’a pour autant pas mis fin aux doutes des habitants du Haut-Vernet. En effet, quelques-uns des habitants sont persuadés qu’il y a eu l’intervention d’un tiers car le petit garçon n’aura pas pu marcher aussi haut.
Autre fait troublant, ses chaussures ont été retrouvées sans ses lacets, ce qui remet en doute l’agression par un loup.
Le Parisien s’est une nouvelle fois penché sur le sujet dans un article publié ce lundi 5 août 2024 et ils ont réussi à avoir le témoignage de la randonneuse qui a retrouvé les ossements.
« Je n’ai pas ressassé cet épisode douloureux. On ne peut pas revenir dessus. J’ai envie d’aller de l’avant. Sinon, on entretient cette ambiance glauque » explique-t-elle dans un premier temps. « Je ne crois pas au hasard. Si Dieu m’a choisie pour trouver Émile, c’est qu’il y a une raison. J’ai été un instrument de paix. » Une vision qui aide sans aucun doute à relativiser.
