Disparition d’Émile : une information secrète sur l’enquête fuite
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Alors que les recherches pour trouver Émile reprennent tandis que la végétation s’amenuise, un proche de la famille de l’enfant a fait une révélation très surprenante au sujet des interrogatoires menés par les gendarmes.
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Émile : Une habitante du village interrogée par les gendarmes pendant 4 heures
Cela fait des mois que le jeune Émile, 3 ans, a disparu dans le Haut-Vernet. Le petit garçon est introuvable et personne ne sait ce qui s’est passé. Victime d’un accident, enlever par un tiers, tué en toute conscience ? Les investigations continuent pour en avoir le cœur net.
Dans ce cadre, de nombreux habitants du village et membres de la famille du garçonnet ont été interrogés. Des perquisitions ont eu lieu, des maisons ont été fouillées et des téléphones sont en cours d’analyse.
Sauf qu’apparemment, dans le cadre d’entretiens menés par des gendarmes chargés du dossier, il y aurait eu quelques problèmes.
En fait, un proche des grands-parents d’Émile s’est exprimé au micro de BFMTV. Ce dernier a fait une révélation choquante. Et il se peut même que cette octogénaire en ait trop dit.
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« Je pleurais comme une madeleine dans ma voiture »
Ce 18 janvier, auprès de nos confrères, la témoin qui « s’entend bien avec les grands-parents d’Émile » aurait été interrogée par les gendarmes de la Seyne-les-Alpes.
Après cet interrogatoire qui aurait duré quatre heures, elle en est ressortie traumatisée et s’est expliqué à BFMTV. D’après elle, ils lui auraient posé beaucoup de questions et fait beaucoup de « sous-entendus » .
Elle serait alors sortie de cet interrogatoire complètement « épuisée » et « à la limite de la crise de nerfs » . Après avoir été interrogée pendant de longues heures, elle aurait fondu en larmes.
« Je pleurais comme une madeleine dans ma voiture. Je suis très en colère contre les gendarmes » , a-t-elle déclaré.
Elle a même fait une révélation inattendue : les parents d’Émile ne croiraient « pas vraiment en la thèse de l’accident, mais plus dans celle de l’enlèvement » . L’avocat des parents de l’enfant a réfuté ces propos et décidé de « faire aucun commentaire durant l’instruction » .
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