Disparition d’Agathe Hilairet : ce témoignage glaçant qui ne présage rien de bon
Alors qu’Agathe Hilairet demeure introuvable, un cantonnier du village a livré un constat particulièrement inquiétant sur les circonstances de la disparition de la jeune femme. On vous explique tout dans la suite de cet article !
Disparition d’Agathe Hilairet : l’hypothèse de l’accident s’éloigne
La commune de Vivonne, dans la Vienne, retient son souffle. Le 10 avril dernier, Agathe Hilairet, une joggeuse de 28 ans, disparaissait sans laisser de traces alors qu’elle faisait son footing matinal. Habituée des sentiers boisés environnants, la jeune femme n’est jamais rentrée chez elle ce jour-là, poussant son père à donner l’alerte.
D’abord classée en « disparition inquiétante », l’enquête a été requalifiée en « enlèvement et séquestration », signe que les autorités écartent peu à peu l’hypothèse d’un accident. Plus de 140 signalements ont été examinés, mais aucun n’a permis d’éclaircir cette affaire. Dans ce village habituellement paisible, l’absence de traces et de témoignages concluants alimente les pires craintes.
Ce témoignage qui laisse présager le pire
Alors que les recherches n’ont, pour l’heure, donné aucun résultat, l’analyse d’un cantonnier local qui connaît par cœur les chemins empruntés par la Agathe Hilairet suscite une vive inquiétude sur ce qui aurait pu arriver à la jeune femme.
« Nous entretenons plus de 90 km de chemins en dehors de la commune. Elle nous disait toujours bonjour et merci (…). Il n’y a pas de secteur dangereux. Si elle était tombée au bord d’un chemin, on l’aurait déjà retrouvée », a-t-il confié auprès du Parisien. Un constat alarmant qui donne du poids aux théories les plus sombres.
Les habitants de Vivonne, eux, oscillent entre tristesse et psychose. Alors que la piste d’une mauvaise rencontre prend de l’ampleur depuis quelques jours, certains joggeurs ont renoncé à leurs sorties habituelles. « On n’est plus en sécurité nulle part », ont affirmé deux jeunes ayant fréquenté la joggeuse il y a quelques années.