Dimitri Payet : « Boire de l’urine était une pratique courante dans notre couple »
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Cela fait plusieurs jours que Dimitri Payet fait parler de lui, mais pas pour des raisons footballistiques. Après avoir été accusé par une femme de « violences physiques et psychologiques », le joueur de foot s’est défendu en mettant en avant ses pratiques sexuelles sadomaschistes.
Dimitri Payet mis à nu
Le 16 avril dernier, Dimitri Payet a été entendu par la DEAM de Jacarepagua, l’unité de police brésilienne spécialisée dans la protection des femmes, suite à des accusations lourdes portées contre lui.
L’ancien international français est visé par une plainte d’une avocate de 28 ans qui l’accuse de violences physiques, psychologiques et sexuelles.
Lors de son audition, révélée par la presse brésilienne, Payet a reconnu entretenir une liaison adultérine avec la plaignante, Larissa Ferrari, mais a catégoriquement nié toute forme d’agression.
Pour se défendre, le joueur de Vasco de Gama n’a pas hésité à étaler des détails particulièrement crus de leur relation, évoquant des pratiques sadomasochistes consenties.
Il a ainsi raconté que la jeune femme lui aurait demandé d’uriner sur elle, et a même mentionné l’envoi de vidéos explicites.
Concernant les marques retrouvées sur le corps de Larissa Ferrari, Dimitri Payet explique qu’elles seraient les conséquences d’actes sexuels souhaités par les deux parties, notamment des gifles aux fesses ou des traces laissées par les meubles utilisés.
Selon lui, la plaignante aurait changé d’attitude lorsqu’il aurait refusé de poursuivre leur histoire en France, ce qui l’aurait poussée à brandir la menace de tout révéler.
Il a le sentiment d’avoir été piégé
Face à ces accusations publiques et au déballage médiatique, Dimitri Payet a également partagé son ressenti avec certains de ses coéquipiers, selon des sources proches du club.
Lors d’échanges privés, il aurait exprimé son incompréhension et son abattement face à l’ampleur prise par l’affaire.
Le joueur aurait confié à ses camarades son sentiment d’avoir été piégé, et a insisté une nouvelle fois sur le caractère consenti de la relation et regrette que des éléments de sa vie intime soient ainsi étalés dans les médias.
Certains membres du vestiaire de Vasco de Gama lui auraient témoigné leur soutien, tout en se montrant prudents face à la gravité des accusations.
De son côté, Larissa Ferrari a réaffirmé publiquement avoir subi des violences psychologiques et a déclaré suivre aujourd’hui une thérapie pour tenter de se reconstruire et tenter de remonter la pente.
