Grosse bourde : Un député embrasse le sein de sa compagne en pleine visioconférence (Vidéo)
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Grosse bourde pour ce politicien argentin. Juan Emilio Ameri, un député argentin, a embrassé le sein de sa compagne alors qu’il était en pleine session parlementaire, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.
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Un député embrasse le sein de sa compagne en pleine visioconférence
Le député argentin de la province de Salta, Juan Emilio Ameri est au coeur d’une polémique. En pleine visioconférence avec les députés parlementaires, l’homme a embrassé le sein de sa conjointe. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, le député était encore connecté.
Alors, la session parlementaire a été interrompue, puis suspendue par le président du parlement, Sergio Massa. Toutefois, il était trop tard. La vidéo où l’on voit le député sortir le sein de sa compagne puis l’embrasser fait déjà le tour des réseaux sociaux. Dès le jeudi 24 septembre, le député a été suspendu.
Des excuses qui ne suffisent pas
« Ici, dans tout l’intérieur du pays, la connexion est très mauvaise. Ma conjointe est sortie des toilettes, je lui ai demandé comment étaient ses prothèses et je l’ai embrassée, car il y a dix jours, elle a été opérée pour des prothèses mammaires« , indique le député. Sous un délai de cinq jours, il devrait connaître la sanction infligée par le Parlement.
« Je vais attendre que mes pairs décident en commission et je verrai ensuite », a indiqué Juan Emilio Ameri. De plus, il a exposé ses « regrets » et sa « grande honte ». Toutefois, il ne compte pas démissionner. Il a ajouté que sa femme se sent « très mal » et « ne cesse de pleurer. »
Les autres députés étaient mitigés entre un sentiment de gêne, de malaise et d’indignation. Certains ont partagé leur avis sur ce buzz : « Vont-ils vraiment faire tant d’histoires parce qu’un député a cru qu’il n’avait aucun lien et a embrassé le sein de sa partenaire? La morale a-t-elle été rétablie? Une sanction pour lui et pour ceux qui jouent à Candy Crush en travaillant me convient. Mais n’exagérez pas… » a écrit la députée de Buenos Aires, Maria Rachid.
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