Affaire Jubillar : les terribles révélations concernant la famille de Cédric
Depuis quelques mois maintenant, le mystère reste entier concernant Delphine Jubillar. Il y a quelques semaines, le journaliste Ronan Folgoas a dévoilé le livre Le mystère Jubillar dans ce dernier, on en apprend davantage sur la famille de Cédric Jubillar qui se déchirerait depuis la naissance.
Delphine Jubillar, bientôt la fin de l’enquête ?
C’est une histoire qui ne cesse de faire parler d’elle depuis le 16 décembre 2020. Delphine Jubillar, une jeune infirmière de 33 ans est portée disparue. C’est au beau milieu de la nuit que son mari, Cédric Jubillar appelle la gendarmerie pour prévenir que sa femme est partie de son domicile.
Selon ses dires, elle serait partie pour promener les chiens au beau milieu de la nuit mais ne serait jamais rentrée. Rapidement, les enquêteurs organisent des battues dans la région pour tenter de comprendre ce qui a pu se passer. En vain. Suite à cela, les regards se tournent vers Cédric Jubillar, son mari. Et pour cause, après avoir été interrogés à de nombreuses reprises par la gendarmerie, les proches du couple ont fait savoir que les relations entre Cédric et sa femme n’étaient plus au beau fixe depuis plusieurs années maintenant. Pour preuve, Delphine Jubillar avait un amant depuis le mois de juin.
Terribles révélations sur la famille de Cédric Jubillar
Vendredi 18 juin 2021, Cédric Jubillar a été placé en détention provisoire. Depuis, il ne cesse de clamer son innocence. Les avocats du père de famille font tout pour qu’il sorte le plus rapidement.
Et pour tenter de comprendre ce qui a pu se passer, le journaliste Ronan Folgoas a sorti un livre Le mystère Jubillar. Dans cet ouvrage, il s’intéresse à la personnalité de l’artisan plaquiste. Et sa sphère familiale dans laquelle il a grandi n’était pas très saine. Ses parents ont divorcé lorsqu’il était jeune et la garde ne se passait pas comme prévu. En effet, comme le raconte sa mère Nadine dans l’ouvrage, il n’était pas rare qu’elle aille à la gendarmerie pour faire respecter le droit de garde : « J’étais obligée chaque dimanche d’aller au commissariat déposer une main courante pour signaler le fait qu’il ne se présentait pas et qu’il n’exerçait donc pas son droit de garde ! » .
Une ambiance compliquée.