Décès du petit Émile : Ce détail sur les vêtements du garçon qui confirme la piste criminelle
Alors que le mystère autour du décès du petit Émile subsiste, la journaliste Christine Kelly a révélé un détail perturbant au sujet de la scène de crime.
Décès du petit Émile : où en est l’enquête ?
Qu’est-il arrivé à Émile ? Aujourd’hui encore, cette question reste sans réponse. En mars dernier, l’affaire prend une tournure inattendue quand une randonneuse se présente aux forces de l’ordre avec le crâne du garçonnet. Commencent alors de minutieuses recherches dans la zone afin de trouver les indices qui donneraient des indications cruciales sur les circonstances de la mort. Mais rien n’y fait.
Toutefois, au cours de leurs recherches, les enquêteurs mettent la main sur d’autres ossements ainsi que sur quelques vêtements du petit Émile. Autant d’éléments qui ont immédiatement été envoyés en laboratoire pour subir des analyses poussées.
Mais alors que la famille du garçonnet est dans l’attente des résultats, une journaliste émet quelques hypothèses. Il s’agit de Christine Kelly, qui s’est intéressée à l’affaire dès le départ. C’est avec attention qu’elle a suivi toutes les étapes jusqu’à la découverte des ossements et des vêtements d’Émile. Si bien qu’elle a noté un détail pour le moins perturbant…
Un détail perturbant sur les vêtements du garçonnet
Elle a en a fait part sur son compte X, suivi par près de 350 000 personnes. « Les vêtements du petit Émile ont été retrouvés intacts… détail d’importance. Comment ses vêtements ont-ils pu séjourner 8 mois dehors exposés aux intempéries et être quasi intacts ? Où est le reste du corps de l’enfant ? Peux [sic] être un pas de plus vers la piste criminelle ? », écrit-elle dans sa publication.
Car si la localisation des ossements mène les enquêteurs vers la piste accidentelle et suppose une intervention animale, aucune hypothèse n’est mise de côté. Surtout pas la piste criminelle. C’est pourquoi des caméras ont été placées sur les lieux afin d’étudier les comportements des animaux sauvages, mais aussi d’enregistrer les déplacements d’un potentiel criminel.
L’auteur du crime, si c’en est un, pourrait revenir dissimuler des preuves ou au contraire tenter d’en récupérer. Affaire à suivre.