Crâne retrouvé dans les Pyrénées : les analysés ADN ont parlé !
Les analyses ADN sont sans appel : le crâne retrouvé le jeudi 22 juillet appartient bel et bien à Esther Dingley. Cette randonneuse britannique a disparu l’hiver dernier, dans les Pyrénées.
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Disparue depuis huit mois, l’ADN d’Esther Dingley coïncide au crane retrouvé
Triste nouvelle. Les restes humains retrouvés le 22 juillet correspondent avec l’ADN d’Esther Dingley. La randonneuse britannique de 37 ans avait disparu il y a maintenant huit mois.
C’était en novembre dernier. Esther Dingley effectuait un trek en solo dans les Pyrénées, à la limite de la frontière espagnole. Après un dernier selfie envoyé sur Whatsapp, le 22 novembre 2020 à son compagnon, la jeune femme n’avait plus donné signe de vie. Par la suite, un crâne avec dessus, quelques cheveux longs avait été retrouvés dans le coin du Port de la Gière, à la limite hispano-française.
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Les circonstances de sa mort toujours inconnues
Ainsi, les analyses ADN et morphologiques ont été rendues publiques par les experts toulousains.
Toutefois, on ne connaît pas encore les circonstances de son décès. « À ce stade, il n’y a aucun signe d’équipement ou de vêtements« précisent les proches de la jeune Britannique. L’association caritative LBT Global, qui aide depuis la disparition de la jeune femme, ses proches a expliqué que « l’enquête en est encore à ses débuts » avec « un seul os actuellement localisé. » Il conclut qu’il faudra encore attendre « un certain temps » avant d’en savoir plus sur les circonstances de la mort de la Britannique.
Du côté des proches d’Esther Dingley, sa mère et son compagnon, Daniel Colegate, ont exprimé leur bouleversement en apprenant la nouvelle. « Nous savions tous depuis de nombreux mois que les chances que nous avions de serrer notre chère Esther dans nos bras, de sentir la chaleur de sa main dans la nôtre, de voir son magnifique sourire illuminer une pièce était minuscule. Mais avec cette confirmation, ce petit espoir s’est évaporé. » confient-ils.
L’enquête et les recherches franco-espagnoles se poursuivent toujours.
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