Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Faits divers

Choc : une directrice d’école privée mise en examen pour viol sur des enfants de 2 à 4 ans

Publié par Celine Spectra le 05 Nov 2021 à 10:33
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

C’est le choc dans les Pyrénées-Atlantique ! En effet, une directrice d’école privée à Jurançon a été mise en examen. Elle est accusée de faits de viols sur des mineurs âgés de 2 à 4 ans.

Choc une directrice d'école privée aux Pyrénées-Atlantiques mise en examen pour viol sur mineurs de 2 à 4 ans !

Image Pixabay

>> À lire aussi : Jean-Luc Lahaye accusé de viol sur mineurs : « il me demandait de me pénétrer avec un fruit » 

Une directrice d’école privée des Pyrénées-Atlantiques mise en examen pour viol sur mineur de 2 à 4 ans !

La vidéo du jour

Les élèves sous sa responsabilité n’avaient pas plus de 4 ans ! Une directrice d’école privée a été mise en examen pour viol sur mineur dans les Pyrénées-Atlantiques. L’accusée n’exerce plus depuis avril. Mois où elle a été entendue pour la première fois par les enquêteurs. Pour l’heure, la directrice nie toujours les faits qui lui sont reprochés. 

Tout a commencé avec les plaintes de certains parents d’élèves. Les faits reprochés seraient des actes de pénétration sexuelle, mais aussi d’attouchements sexuels sur mineur de moins de 15 ans. Les enfants, âgés pour la plupart entre 2 et 4 ans, non autonomes, ont rapporté des doigts dans les fesses et également que leur pénis avait été décalotté lors du passage aux toilettes.

>> À lire aussi : Affaire Ary Abittan : La victime présumée dévoile à son avocat « une violence inouïe » (vidéo) 

La chronologie des faits ne permet pas de mettre en œuvre rapidement l’enquête

L’objectif de l’instruction est désormais de pouvoir objectiver les dénonciations faites par de très jeunes enfants. la chronologie des faits n’a pas permis de mettre en œuvre l’ensemble des préconisations du protocole d’auditions à questions ouvertes. D’importantes incohérences subsistent. La réelle fragilité du dossier impose de rappeler que la personne mise en examen bénéficie de la présomption d’innocence.

>> À lire aussi : « Violer une policière : prime de 500 000 € » Ce tableau des horreurs découvert dans un point de deal 

INSCRIPTION NEWSLETTER TDN

N'oubliez pas de cliquer sur l'email de validation pour confirmer votre adresse email. Si vous ne l'avez pas recu vérifiez dans vos spams.