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Cédric Jubillar bientôt libéré ? Cette nouvelle qui réjouit le détenu

Publié par Elodie GD le 12 Mar 2025 à 20:31

C’est confirmé, Cédric Jubillar comparaîtra devant les assises de Tarn à compter du 22 septembre prochain.

Un passage aux assises à partir du 22 septembre

Un accusé « soulagé » ? C’est le discours que tiennent ses avocats, Me Alexandre Martin et Me Emmanuelle Franck, ce 11 mars, au micro de BFMTV. D’après leurs dires, le dossier de Cédric Jubillar est prêt et celui-ci bien déterminé à prouver son innocence. Accusé du meurtre de sa femme, Delphine Aussaguel, disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, l’homme est dans l’attente de son procès.

La vidéo du jour
Cédric Jubillar bientôt jugé en assises

« Il attend ce procès avec beaucoup d’impatience. Cela fait maintenant des années qu’il clame son innocence », explique l’avocat aux journalistes présents en plateau.

L’occasion pour lui de rappeler que son client est en détention depuis le 18 juin 2021 et qu’il y est resté malgré les nombreuses demandes de remise en liberté. Quatre ans d’emprisonnement, donc, pour l’homme qui ne cesse de clamer son innocence depuis le premier jour.

« Pour que son innocence puisse être reconnue »

« Je crois maintenant qu’il lui tarde que tout le dossier soit dévoilé, à des jurés bien sûr, mais également au grand public pour que son innocence puisse être reconnue », ajoute Alexandre Martin. Si Cédric Jubillar continue de clamer son innocence, de nombreuses questions subsistent.

Pour rappel, Delphine Aussaguel s’est volatilisée : son corps n’a jamais été retrouvé et il n’existe ni témoins, ni aveux, ni scène de crime. Autant de zones d’ombres qui font de Cédric Jubillar le coupable idéal. Or, selon ses déclarations, il était endormi au moment de la disparition de sa femme. « C’est à l’accusation de prouver sa culpabilité », argue l’avocat.

Les arguments de l’accusation reposent essentiellement sur une annonce que la victime aurait faite à son époux juste avant de disparaître. En effet, elle lui aurait communiqué sa volonté de divorcer. Une mauvaise nouvelle pour l’accusé qui aurait alors pu passer à l’acte et commettre l’irréparable.

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