À cause de la « Journée sans voiture », cette sexagénaire va vivre une terrible expérience !
À Paris, une femme de 68 ans est restée coincée deux heures dans un ascenseur. Le dépanneur a été retardé par un barrage mis en place pour la « Journée sans voiture ».
Une terrible expérience à cause de la « Journée sans voiture »
À Paris, le dimanche 27 septembre s’est déroulé la sixième édition de la fameuse « Journée sans voiture ». Cependant, à cause d’un barrage mis en place à l’entrée de Paris, le dépannage d’une femme, coincée dans un ascenseur a été retardé. En effet, Monique, âgée de 68 ans a vécu une terrible expérience en restant près de deux heures dans un ascenseur.
Bloquée entre le premier étage et le rez-de-chaussée de son immeuble, la sexagénaire pense alors que la « Journée sans voiture » va jouer en sa faveur. En effet, elle a indiqué à nos confrères du Parisien : « Un dimanche, et en plus un dimanche de ‘Journée sans voiture’, ça devait bien rouler donc je n’étais pas très inquiète« . De plus, en appelant le numéro d’urgence de l’ascensoriste de son immeuble, on lui promet un dépannage « dans la demi-heure ».
Néanmoins, tout ne va pas se passer comme elle l’avait imaginé. En effet, en voyant les minutes passer, Monique décide de recontacter l’entreprise de dépannage. L’entreprise joint alors le dépanneur qui leur explique qu’il est bloqué par un barrage à cause de la « Journée sans voiture ». Stupéfaite, Monique a déclaré : « Il était refoulé à un barrage policier installé porte Maillot ! C’est scandaleux, absolument scandaleux« . Toutefois, en ayant profité de la distraction des policiers, le dépanneur est arrivé à franchir le barrage puis à secourir Monique deux heures plus tard.
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« De telles situations peuvent entraîner des conséquences graves »
Effectivement, lors de la « Journée sans voiture », le règlement est strict et la mairie de Paris ne délivre aucune dérogation aux entreprises de dépannage. La compagnie de l’ascensoriste, Crealift, a expliqué : « Comme nos techniciens n’ont pas de voitures siglées, leur seule carte professionnelle ne donne pas de passe-droit« . Par conséquent, lors de cette journée, seuls les médecins, pompiers, taxis, VTC, ambulances et autobus sont autorisés à rouler.
Toutefois, pour Monique, ce règlement est scandaleux. Elle a déclaré : « J’ai la chance d’être en bonne santé et d’avoir un bon mental, mais si j’avais été quelqu’un de fragile, ou de malade, que serait-il arrivé ? De telles situations peuvent entraîner des conséquences graves, mettre la vie de personnes en danger« .
Source : Le Parisien
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