« STOP STOP » : Un Boeing 777 victime d’un incident sérieux sur un vol New-York-Paris
Alors qu’un avion de tourisme vient de disparaitre ce samedi entre la France et l’Angleterre, un Boeing 777 d’Air France en provenance de New York a frôlé le crash lors de son atterrissage. En effet, à son arrivée à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, l’appareil n’a plus réagi aux commandes des pilotes !
Un Boeing 777 manque de se crasher lors de son atterrissage
Alors que le 28 mars dernier, les passagers d’un vol Toulouse-Marrakech ont connu une véritable nuit de galère, d’autres ont dû avoir la peur de leur vie ce mardi 5 avril ! En effet, une tragédie a été évitée de peu sur le vol Air France AF 11 à proximité de l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle.
Un Boeing 777 originaire de New-York devait se poser vers 10 h à l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, à Paris. Malheureusement, lors de la préparation de l’atterrissage, un problème technique est survenu.
Dans la vidéo ci-dessus, publiée par la chaîne AIRLIVE sur YouTube, vous avez pu entendre le dialogue qu’a eu l’équipage avec la tour de contrôle de l’aéroport. Les deux pilotes du Boeing ont d’ailleurs le souffle coupé, tellement le stress est à son paroxysme.
Air France Boeing 777-300 (F-GSQJ, built 2005) was on final approach to runway 26L at Paris-CGD Intl Airport (LFPG) when the pilots reported control issues. Flight #AF11 from New York went around and returned for a safe landing about 20 minutes later. pic.twitter.com/zbgxSHkPjZ
— JACDEC (@JacdecNew) April 5, 2022
Des pilotes totalement paniqués !
Le pilote paniqué évoque « un problème de commandes de vol« , puis affirme carrément que l’avion fait « n’importe quoi. »
La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a depuis expliqué que cet événement concernerait une instabilité des commandes de vol qui a été suivie d’une remise de gaz. Et que pour l’heure, l’analyse est en cours par la compagnie. Néanmoins, la DGAC ne précise pas de quelle instabilité il s’agit. Une question reste désormais sur toutes les lèvres… Le pilote aura-t-il eu la chance d’avoir des passagers qui lui chantent un sympathique Baby Shark pour se calmer ? Rien n’est moins sûr !