Une auxiliaire de vie vole une énorme somme à une femme de 95 ans
Une auxiliaire de vie de 55 ans aurait abusé de la confiance d’une dame âgée de 95 ans. La femme, qui a été arrêtée par la gendarmerie de Salies-de-Béarn, dans les Pyrénées-Atlantiques, est accusée d’avoir volé 223 000 euros à la nonagénaire.
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L’auxiliaire lui a extorqué 6 000 par mois pendant des années
Parfois, des choses tellement horribles arrivent qu’on se demande comment c’est possible. En voilà un parfait exemple. Nous essayons d’être le plus possible bienveillant avec nos ainés. D’autres, n’ont pas de cœurs, et s’attaquent aux personnes âgées sans défense. C’est potentiellement le cas d’une femme des Pyrénées-Atlantiques.
Voilà une sordide affaire révélée par le journal Midi Libre. Une auxiliaire de vie a été arrêtée ce lundi 23 janvier. Elle est accusée d’abus de confiance. Cette dernière aurait dérobé à la personne âgée dont elle s’occupait la somme de 223 000 euros. Alors que la doyenne de l’humanité nous a quittés, cette vieille dame s’est injustement fait dérober son argent.
C’est une amie de la victime de 95 ans qui a donné l’alerte quand elle s’est aperçue que l’auxiliaire de vie tentait de l’éloigner de la femme. L’enquête a été menée par la gendarmerie. Et en effet, ces derniers s’aperçoivent que l’aidante a accès aux comptes, aux chèques et à la carte bancaire de la vieille dame. Elle se serait approprié de grosses sommes d’argent. Elle s’en est servie pour s’attribuer des augmentations, s’acheter une BMW, un quad… L’argent lui a permis de faire des travaux de rénovation chez elle. En tout, elle lui aurait dérobé 6 000 euros par mois pendant plusieurs années…
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Elle passera devant le juge en juillet prochain
Les militaires ont interpellé la quinquagénaire chez elle pour des faits d’abus de confiance. La femme a été relâchée le lendemain. Cependant, elle reste sous contrôle judiciaire jusqu’à sa comparution. Elle passera devant le juge en juillet prochain.
Son avocat, Me Thierry Sagardoytho, défend sa cliente. Il prétend qu’elle était « employée jour et nuit, sans aucun jour de repos et dans des conditions totalement contraires aux règles minimums du Code du travail » .
Il reste à savoir si la justice se laissera convaincre par l’argument de l’avocat…
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