Aurélie Vaquier : Nouveau rebondissement dans l’affaire
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L’enquête concernant la mort d’Aurélie Vaquier avance. Jeudi 22 avril, la chambre d’instruction de la cour d’appel de Montpellier (Hérault) a maintenu la mise en examen du compagnon de la victime, Samire L.
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Un recours de liberté conditionnelle déposé par le compagnon d’Aurélie Vaquier
Le jeudi 22 avril, la cour d’appel de Montpellier rendait son verdict et annonçait la mise en examen de Samire L. pour le meurtre de la jeune femme avec circonstances aggravantes. Par ailleurs, le procureur de la République de Béziers a fait savoir que le mis en examen avait également requis un recours pour une liberté conditionnelle : « Par un arrêt de ce jour, jeudi 22 avril 2021, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a rejeté la demande de remise en liberté du compagnon d’Aurélie Vaquier, mis en examen pour meurtre aggravé et qui a répété qu’il n’était pour rien dans le décès de la jeune femme » .
Le suspect, depuis le début de cette macabre affaire, martèle son innocence. Me Jean-Charles Teissedre, un des avocats de la famille d’Aurélie, a déclaré que Samire « nie en bloc » . L’accusé a fait savoir qu’aux moments des faits, il n’était pas à leur domicile de Bédarieux (Hérault) mais avec sa famille dans l’Ain. Il assure que c’est une autre personne qui a assassiné Aurélie Vaquier.
« Je suis le coupable idéal pour la presse »
A la suite d’une audition mardi dernier organisée en visio depuis la prison de Béziers, le compagnon de la jeune femme a déclaré « je suis le coupable idéal pour la presse » . Avant de confier que son « honneur est sali » . L’arrêt de la chambre d’instruction, rendu public ce jeudi, va donc le maintenir derrière les barreaux pendant que les investigations se poursuivent.
Rappelons que le corps d’Aurélie Vaquier a été retrouvé au domicile où vivait le couple le 7 avril dernier. Mais aussi que le mis en examen a attendu 26 jours avant de prévenir la gendarmerie que sa compagne avait disparu.
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