Un assistant d’éducation accusé de viol sur une collégienne… La justice rend son verdict !
Dans le collège Olympe de Gouges, à Montauban, un assistant d’éducation a été accusé de viol « sur mineure de 15 ans ».
Alors qu’une institutrice a été mise en examen pour violences sur ses élèves, l’homme a dû répondre de ses actes devant la justice. Cette dernière a rendu son verdict !
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Une collégienne violée par un assistant d’éducation
Au collège Olympe de Gouges, à Montauban, cette histoire a bouleversé de nombreux élèves et parents. Un soir, en rentrant du collège, une élève de l’établissement indique à sa mère avoir été violée par un assistant d’éducation.
Âgé de 62 ans, l’homme n’était pas connu des services de police et son casier judiciaire était vide. Pourtant, le surveillant a décidé de commettre l’irréparable sur cette mineure. Alors que cette femme a échappé à son agresseur en lui coupant un bout de la langue, l’élève de l’établissement n’a pas pu en faire autant.
Face aux aveux de sa fille, la mère a effectué un signalement à l’Education nationale après avoir déposé une plainte pour viol sur mineure. L’information, d’abord révélée par la Dépêche du Midi, a été confirmée un peu plus tard par l’AFP.
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Le surveillant écroué pour « viol sur mineure de 15 ans »
Rapidement, l’homme est interpellé par les forces de l’ordre et placé en garde à vue le 17 mars dernier. Quelques jours plus tard, il doit répondre de ses actes devant la justice.
Et le 21 mars, le procureur de la République de Montauban rend son verdict. Le surveillant de 62 ans est écroué pour « viols sur mineure de 15 ans par une personne qui a plus de cinq ans de différence d’âge ». L’homme n’était pas connu des services de police. Le signalement a permis d’évident d’autres incidents.
Si les agresseurs d’une jeune fille violée à 11 ans n’auront pas de casier judiciaire, l’assistant d’éducation ne connaîtra pas la même finalité. Les enfants victimes d’agressions sexuelles ou verbales peuvent en informer un professeur de l’établissement.
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