Affaire Jonathann Daval : Alexia violée après sa mort ?
Alors que le procès pour l’affaire Jonathann Daval vient de s’ouvrir, c’est déjà le coup de théâtre ! En effet, du côté de la famille d’Alexia, l’avocat soutient que la jeune femme aurait été violée après sa mort… Un argument que conteste l’avocat de la partie adverse, mais qui pourtant, ne serait pas si étonnant que cela.
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Affaire Jonathann Daval : Alexia violée après sa mort ?
Dans l’affaire Jonathann Daval, il existe encore certaines zones d’ombre que les parents d’Alexia souhaitent éclaircir. En effet, ils postulent notamment sur un somnifère qui lui aurait fait perdre tous ses moyens de lutte, mais aussi, sur la présence d’une 2e personne aux côtés de son mari.
Or, en ce premier jour de procès, l’avocat de la famille ouvre son plaidoyer sur une hypothèse qui peut paraître invraisemblable : celle du viol de la jeune femme après sa mort. À la barre, le patron de la Section de recherches de la gendarmerie de Besançon reviendra sur ses soupçons sur le mari qui ont émergé « dans les 48 premières heures. » Un argument immédiatement contre carré par Maître Randall Schwerdorffer qui s’étonne de son arrestation 3 mois plus tard.
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Une dispute qui tourne mal
Quant à la thèse du viol dans l’affaire Jonathann Daval, Maître Gilles-Jean Portejoie qui représente la famille de la victime rappelle la présence de sperme du meurtrier sur le corps, la culotte et le short d’Alexia. Et c’est ainsi qu’il déclare : « Je vais vous dire ce que je pense: il y a eu une relation sexuelle après la mort d’Alexia ! «
Une hypothèse pertinente dans la mesure où pour souvenir, Alexia n’avait de cesse de reprocher à son mari son impuissance. Est-ce à dire que ce dernier se serait vengé pour punir la victime ? « Nous avons la conviction qu’il y a eu viol post-mortem.Ce n’est pas farfelu du tout ! » expliquera l’avocat au micro de BFM TV. Quant à l’avocat de la partie adverse, il argumentera simplement : « En trois ans d’instruction, aucune demande d’investigation n’a jamais été faite sur un possible viol ante ou post mortem, on ne peut pas laisser dire n’importe quoi. »