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« Il y a eu des choses véritablement sordides » : Affaire Grégory Villemin, l’avocate des parents se confie sur le drame

Publié par Celine Spectra le 14 Août 2022 à 12:18
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En 1984, l’assassinat du petit Grégory Villemin marque à jamais le cœur des français. Cette affaire judiciaire a été vécue de l’intérieur par l’avocate des parents, Marie-Christine Chastant-Morand. Ce vendredi 12 août 2022, cette dernière a accepté de se confier sur les souvenirs marquants de cette enquête pour nos confrères de Gala.fr.

L’enquête marquante de sa carrière

Pendant toute l’affaire, Marie-Christine Chastant-Morand, avocate, a donc représenté les parents du petit Grégory. C’est d’ailleurs toujours le cas actuellement. Ce vendredi 12 août 2022, cette dernière a accepté d’accorder une interview à Gala.fr. L’occasion pour l’avocate de revenir sur l’enquête qui a marqué à tout jamais sa carrière.

La vidéo du jour

Pour mémoire, le petit garçon de 4 ans a été retrouvé mort dans la Vologne. Le petit corps sans vie était attaché par des cordelettes. Mais ce que l’on sait moins, c’est que l’engouement médiatique autour de l’affaire aura d’autant plus brisé la famille, mais aussi l’enquête.

« Certains sont même allés jusqu’à voler la photographie de Grégory sur sa tombe… »

affaire-grégory

Presque 40 ans plus tard, l’affaire n’est toujours pas résolue

Depuis bientôt 40 ans, il est triste d’apprendre que l’affaire ne connaît toujours pas de coupable. Même si un corbeau faisait bien chanter les parents du petit. Pendant un temps, les parents étaient persuadés de connaître son identité, mais malheureusement, c’était une erreur. Des techniques incroyables ont pourtant été mises en places afin de percer ce mystère.

Le père de famille s’est finalement résigné à vider la tombe de Grégory. La famille a ensuite déménagé en région parisienne afin de fuir la médiatisation. Néanmoins, les proches de l’enfant n’ont jamais cessé de se battre pour connaître la vérité. Et comme le confit l’avocate, l’affaire va continuer de faire parler d’elle étant donné que le dossier n’est pas clos.

« Il y a eu une seconde réouverture. Celle-ci est d’ailleurs toujours en cours ».

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