Accusé de viol, il simule sa mort et s’enfuit du pays. Interpol le retrouve grâce à ses tatouages !
Alors que neuf hommes sont toujours activement recherchés après s’être évadé d’un centre de rétention aux États-Unis, un homme accusé de viol et d’agressions sexuelles a été confondu par ses tatouages en Écosse. Ce dernier avait simulé sa mort pour s’enfuir outre-Atlantique et avait ensuite pris une autre identité.
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Trahi par ses tatouages, Interpol le retrouve en Écosse
Alors que dans la capitale, un détenu est toujours également recherché après s’être évadé ; un homme affirme être victime d’une erreur d’identité en Écosse. Il va pourtant être renvoyé vers les États-Unis, où il est accusé de viol et d’agressions sexuelles. Ce vendredi 11 novembre 2022, la justice britannique l’a, en effet, identifié comme étant un suspect recherché.
Âgé de 35 ans, l’homme assurait depuis des mois qu’il s’appelait Arthur Knight. Qu’il était né en Irlande et qu’il était orphelin. Finalement, la justice britannique a réussi à prouver qu’il s’agissait bien de Nicholas Rossi. Un Américain recherché aux États-Unis, accusé du viol d’une femme dans l’Utah… Ainsi que d’autres agressions sexuelles.
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Pixabay
Hospitalisé suite à la Covid
Alors que certaines fois, il suffit d’une simple permission pour tenter de s’évader, Nicholas Rossi, quant à lui, aurait simulé sa mort aux États-Unis. Puis se serait visiblement enfuie en Écosse pour éviter les poursuites. Manque de chance pour lui, en octobre dernier, il a eu la Covid et a dû se rendre à l’hôpital. Fiché Interpol, ses tatouages ont permis de l’identifier puis de l’arrêter.
Depuis l’interpellation, il assurait être victime d’une erreur d’identité. Il est même allé jusqu’à affirmer que les tatouages lui avaient été faits à son insu à l’hôpital.
« Pendant les jours où j’étais dans le coma, je n’avais pas le libre arbitre de mon corps. »
Des explications qui, comme vous pouvez l’imaginer, ont été estimées d’« improbables et fantaisistes » par le juge Norman McFayden lors de la procédure.
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