Pour 30 euros, un jeune homme de 25 ans est frappé à mort en pleine rue !
Dans le Gard, une histoire de dette vire au drame. Dans la commune de Quissac, un jeune homme de 25 ans s’est fait frapper à mort avec une matraque télescopique.
Alors que la mort d’Emile reste encore un mystère, les raisons de l’agression ont été apportées par une source proche du dossier. L’homme devait 30 euros à son neveu, âgé de 21 ans. Ce dernier serait à l’origine du meurtre.
Il doit 30 euros à son neveu, ce dernier le frappe à mort en pleine rue
Le 16 avril 2024, un jeune homme de 25 ans est décédé après une agression dans les rues de Quissac, dans le Gard. Alors qu’il se trouve au centre-ville, l’homme se fait frapper à mort avec une matraque télescopique. Gravement blessé, il rejoint son domicile.
Sur place, les secours ne sont pas parvenus à réanimer le jeune homme de 25 ans. Mais les causes de l’agression semblent totalement illogiques. Alors qu’un homme a été interpellé avec une carabine dans le RER, la victime a été frappée à mort car elle devait 30 euros à son neveu, comme le rapporte une source proche de l’affaire.
Son neveu, âgé de 21 ans, aurait décidé de se venger face à cette dette non remboursée. C’est d’ailleurs l’homme de 21 ans qui aurait donné rendez-vous à son oncle dans la rue du Camp-neuf, à Quissac, pour lui réclamer la somme.
L’agresseur se rend à la police
Selon les informations du Midi Libre et de la source proche du dossier, le neveu de 21 ans est rentré chez lui après avoir frappé à mort son oncle. Sa mère l’aurait incité à se rendre à la gendarmerie, ce que le jeune homme fait. Il a été placé en garde à vue et interrogé par les forces de l’ordre.
Alors que la raison de l’agression aurait pu concerner cet ordinateur volé avec des données sensibles sur les JO 2024, il n’en est rien. L’homme de 21 ans a frappé à mort son oncle pour une dette de 30 euros. Le suspect lui-même a indiqué cette raison aux enquêteurs. Le procureur de la République d’Alès décrit un « déchaînement de violences » . Il souligne qu’une enquête est en cours. Des témoins présents au moment des faits vont être interrogés par les forces de l’ordre.