Confinement en Italie : l’incroyable impact de la quarantaine sur les canaux de Venise (Vidéo)
Alors que l’Italie comptabilise, à ce jour, 35 713 cas contaminés et 2978 morts, les canaux vénitiens ont bonne mine. Venise est une ville se trouvant dans l’une des trois régions les plus infectées par la maladie. Les habitants doivent respecter des mesures strictes de confinement depuis le 8 mars. Pendant ce temps, les canaux de la ville s’éclaircissent et les animaux reprennent leurs aises. Découvrez ces images stupéfiantes de la ville de Venise dans la vidéo ci-dessous :
À lire aussi: La neige de l’Antarctique prend une couleur inquiétante rouge sang ! (Vidéo)
Les canaux vénitiens se revigorent
Bien que la situation actuelle soit délicate, des bonnes nouvelles sont au rendez-vous. Après la chute drastique de la pollution atmosphérique dans le pays, c’est l’eau des canaux vénitiens qui se purifie.
C’est hallucinant ! L’eau est claire, les poissons reviennent en nombre, des cygnes déambulent sur cette eau cristalline.
Bien que Venise soit connue comme la ville sans voiture, elle est la proie d’un grand trafic marin. Les centaines de bateaux à moteur l’infectent et tuent les êtres aquatiques. Et ce n’est pas tout ! Ce trafic provoque des vagues qui mettent en péril cette ville majestueuse sur pilotis.
Comme quoi, il aura fallu qu’une semaine à la nature pour qu’elle retrouve ses forces. Preuve qu’une telle solidarité peut avoir de réels effets sur notre planète.
Les effets positifs du confinement sur la maladie se font également ressentir
Même si le nombre de morts et de cas contaminés ne cessent d’augmenter depuis le début de l’épidémie, Le Progrès rapporte que, quant à lui, le rythme de la maladie ralenti depuis le début du confinement.
En effet, il y avait 19% de contaminés samedi contre seulement 12,6% de nouveaux cas mardi. Preuve que le confinement apporte des résultats aussi sur la propagation du virus.
L’important est de véritablement continuer cet effort collectif pour retrouver notre liberté le plus vite possible.
À lire aussi: La raie manta, l’avion de ligne écolo, bientôt prêt à s’envoler avec Airbus