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Chauffage : l’amende pour ceux qui ne respecteront pas les 19 degrés est connue !

Publié par La rédaction le 07 Nov 2022 à 9:42
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Il faudra désormais faire avec : le chauffage devra rester à 19 degrés cet hiver. Depuis plusieurs semaines, les responsables politiques, et Emmanuel Macron lui-même, ne cessent de le répéter. Face à la flambée des prix de l’énergie et aux économies que chaque Français se doit de faire, tel est désormais le mot d’ordre pour les mois de la future saison à venir ! Et pour ceux qui se risqueraient à chauffer plus chaud, une décision a été prise !

Et vous, allez-vous mettre le chauffage à 19 degrés ?

La vidéo du jour

On sait désormais à quoi s’attendre pour les prochaines semaines à venir. L’hiver sera difficile et les énergies pourraient probablement devenir une denrée rare. De quoi donner à l’État l’envie d’instaurer des règles strictes et précises… Et le chauffage, lui, fait partie des premiers sujets sur lesquels le gouvernement a souhaité trancher.

Ainsi, et depuis plusieurs jours désormais, les responsables politiques ont clarifié le chiffre précis et minimal auquel les Français devront allumer leur chauffage. En effet, c’est à partir des 19 degrés qu’un ménage pourra laisser la chaleur s’emparer de son habitation. « La règle est clair, on chauffe à 19 degrés », avait notamment déclaré Élisabeth Borne, Première ministre, au micro de la radio RMC il y a peu. Et pour les réfractaires, la sanction a d’ores et déjà été décidée.

radiateur chauffage 19 degrés

Une sanction qui interroge

Pour ceux qui ne respecteront pas la préconisation du gouvernement et qui déclencheront leur chauffage au-delà des 19 degrés, la sanction sera la suivante : il n’y en aura pas ! En effet, l’État perdrait trop de temps à enquêter et dénicher l’ensemble des ménages qui ne joueront malheureusement pas le jeu. « Il ne s’agit pas de faire une police des températures », déclarait ainsi Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la transition écologique. Il faut dire qu’en prenant des sanctions à l’encontre des réfractaires, l’État verrait sûrement une gronde se former et lui rappeler ses plus sombres souvenirs… des gilets jaunes. Et ça, Emmanuel Macron n’en veut plus !

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