Inès Reg VS Natasha St-Pier : Valérie Trierweiler s’en mêle et ça fait mal !
S’il a eu lieu depuis le mois de janvier, le clash entre Natasha St-Pier et Inès Reg est sur toutes les lèvres. Même celles de Valérie Trierweiler qui s’est vantée d’être la première à avoir traité la jeune humoriste de sal*pe.
Tensions entre Inès Reg et Natasha St-Pier
La saison 13 de Danse avec les stars est sous le feu des projecteurs. Non pas pour les performances incroyables des personnalités et leurs danseurs, mais à cause d’un clash. Une violente dispute qui aurait éclaté au mois de janvier entre Inès Reg et Natasha St-Pier.
Elle aurait abouti à ce que la chanteuse et son danseur Anthony Colette déposent une main courante contre Inès Reg pour menaces de mort. Du jamais vu dans cette émission dont les participants paraissent d’ordinaire irréprochables à l’écran.
Très vite, deux clans se sont formés autour des candidates. Et leurs récentes prises de parole sur les réseaux sociaux n’ont pas arrangé les choses. Au contraire, elles ont contribué à attiser la haine des internautes. Notamment envers Inès Reg qui a pointé du doigt les propos racistes de certains.
Valérie Trierweiler en remet une couche
Comme presque partout ailleurs, les sujets du genre font parler dans les Grosses Têtes. Ainsi, ce 9 avril, Laurent Ruquier s’est fait un devoir de lancer un débat sur le sujet. D’autant que Valérie Trierweiler était présente ce jour-là. Après avoir annoncé la sociétaire, l’animateur a ainsi ajouté : « grosse tête qui, allez savoir pourquoi, chante du Natasha St-Pier depuis 15 jours ». Ne comprenant pas le sous-entendu de la réplique, la chroniqueuse Isabelle Mergault a demandé davantage de précisions à ses confrères.
C’est ainsi qu’elle a appris que Valérie Trierweiler avait eu l’occasion de côtoyer Inès Reg dans l’émission Pékin Express. Émission à laquelle elle a participé avec sa meilleure amie et l’humoriste avec sa sœur Anaïs. Les dernières avaient d’ailleurs remporté la finale. Non sans mal. Durant leur parcours, elles se sont notamment heurtées à une Valérie Trierweiler très compétitive.
« Je suis la première à l’avoir traitée de sal*pe, voilà, soyons clairs », s’est-elle vantée. La raison ? Ses concurrentes avaient mis devant elles un drapeau noir, synonyme de pénalité. Face à ce handicap, la journaliste avait gratifié Inès Reg et sa sœur d’un discutable : « Elles nous attendaient, les sal*pes ». Propos pour lesquels elle ne s’est d’ailleurs jamais excusée.