« On a un droit à la paresse » : Sandrine Rousseau trouve que la valeur travail c’est « une valeur de droite »
Fabien Roussel se doutait bien qu’en tenant un tel discours, ses acolytes de la Gauche allaient lui sauter à la gorge… Et ça n’a pas manqué. Après avoir notamment confié que « les revenus comme le RSA » venaient « nourrir le chômage », le leader du Parti Communiste Français s’est attiré les foudres. Et particulièrement celles de Sandrine Rousseau, célèbre visage du parti des Écologistes. Pour elle, comme le montre la vidéo qui suit, le « droit à la paresse » doit exister pour les Français souhaitant changer de travail.
Pour Sandrine Rousseau, la paresse a du bon
Il n’en fallait pas moins pour provoquer la furie de Sandrine Rousseau. On peut donc dire que Fabien Roussel a tapé dans le mille ! En effet, ces dernières semaines, la figure représentative du parti des Écologistes n’hésite pas à dégainer dès lors qu’un sujet la chagrine. Dernièrement, les propos du leader du Parti Communiste Français lui ont déplu.
Aux accusations de Fabien Roussel énonçant que certaines allocations versées par la CAF et compagnie venaient faire des chômeurs des paresseux, Sandrine Rousseau, elle, rétorque : « Je vous dis qu’on a un droit à la paresse, à la transition des métiers. On a le droit de faire des pauses dans sa vie ». Pour elle, les propos tenus par l’ex-candidat à la présidence de la République ne sont clairement pas dans cette vision.
Un Fabien Roussel bien loin des regrets
Pointé du doigt par ceux avec lesquels il s’était allié à l’occasion des élections législatives, Fabien Roussel n’en n’a visiblement que faire des attaques de Sandrine Rousseau. Bien au contraire : « J’assume défendre la parti du travail ». Autrement dit, son discours tend plus vers la Droite que vers sa gauche natale. Étrange pour un membre du Parti Communiste, réputé pour être… à l’extrême gauche !
De son côté, Sandrine Rousseau persiste et tient aux allocations, tant elles permettent aux employés de se donner de l’air lorsqu’ils décident de changer de vie : « Les salariés doivent pouvoir ne pas dépendre de leur emploi et avoir une sécurité. C’est les allocations, ça sert à ça ! ».