Michel Blanc pas dans son cercueil ? L’étrange révélation d’un ami
Thierry Lhermitte, ami de Michel Blanc, a fait une révélation au sujet des funérailles : il avait l’impression que l’acteur n’était pas dans son cercueil. Dans un numéro d’Envoyé Spécial, le comédien raconte.
Michel Blanc nous a quittés soudainement
Il faisait partie de la troupe des Spendid et était devenu connu dans le film culte des Bronzés dans le rôle de Jean-Claude. Michel Blanc nous a malheureusement quittés à l’âge de 72 ans, ce 3 octobre 2024.
Une terrible tragédie pour les amateurs de cinéma humoristique, mais aussi et surtout pour ses proches. Partageant sa vie avec Ramatoulaye Diop depuis une quinzaine d’années, l’acteur n’était pas père.
Par contre, il fut le papa de nombreux films d’anthologie. Au sein de ces films devenus cultes, il partageait la réplique avec de nombreux acteurs français désormais très célèbres.
Parmi eux, des amis proches comme Gérard Jugnot ou encore Thierry Lhermitte. D’ailleurs, à l’annonce de sa disparition, ils se sont exprimés sur leur douleur. Par exemple, Gérard Jugnot, en ami de longue date, s’est montré dévasté par ce départ soudain.
Soudain, ce fut le cas. Michel Blanc a perdu la vie alors qu’il ne présentait pas particulièrement de problèmes de santé. En réalité, il fut victime d’un choc anaphylactique. C’est une réaction allergique très sévère pouvant entraîner le décès.
Lors de ses derniers instants, l’acteur avait eu rendez-vous avez son médecin qui soupçonnait un problème rénal. Il lui a donc demandé de prendre rendez-vous en imagerie. Des antibiotiques et un médicament de contraste auraient été aussi prescrits dans ce cadre.
Le jour du rendez-vous avec le radiologue, Michel Blanc a avoué à ce dernier qu’il avait l’impression de manquer d’air. Peu de temps après, il a été transporté en urgence à l’hôpital. Après six arrêts cardiaques, il a finalement rendu son dernier souffle. Un moment sans doute « pénible », selon le médecin Michel Cymes.
Sa bande de comédiens présente aux funérailles
Une disparition soudaine qui a suscité l’émotion dans toute la France. Les hommages se sont rapidement enchaînés. Et, après cela, il y a finalement eu ses funérailles.
Ses obsèques ont lieu le 10 octobre 2024 à l’église Saint-Eustache, c’est dans le 1ᵉʳ arrondissement de Paris. Le comédien a été enterré au cimetière du Père-Lachaise après la cérémonie.
Lors des obsèques, de très nombreuses célébrités ont fait le déplacement. Et, il y avait forcément ses amis Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte. Un moment très difficile pour tous. D’ailleurs, sa femme lui a délivré un dernier message poignant.
Thierry Lhermitte s’exprime sur la perte de son acolyte
Thierry Lhermitte, âgé de 71 ans et qui interprète « Popeye » dans Les Bronzés, est également un très grand ami de Michel Blanc. Dans ce cadre, il s’est récemment exprimé sur la perte de son acolyte.
Après avoir participé à l’enterrement de l’acteur, Thierry Lhermitte a été interviewé dans un numéro d’Envoyé Spécial, par Elise Lucet, sur France 2.
Ce 21 novembre 2024, il a donc délivré son ressenti sur les obsèques et sur la perte de son ami. Et il a notamment avoué que, pour lui, Michel Blanc n’était pas dans son cercueil au moment de ses funérailles. Une façon de parler pour dire que son esprit était certainement à leurs côtés. Il explique.
« C’était absurde de penser qu’il était dans cette boîte, franchement, il était avec nous« , a déclaré le comédien. Bruno Moynot, qui était aussi invité, a eu la même sensation : « Oui, on avait l’impression qu’il était aligné avec nous dans l’Église ».
Josiane Balasko : « Et à la fois il est avec nous »
« Là, aujourd’hui, ici, dans ce théâtre, sans lui, c’est pas évident pour vous », a alors déclaré Elise Lucet qui les interviewait. Pour Josiane Balasko, pas forcément : « Et à la fois il est avec nous », a-t-elle déclaré.
« On ne se voyait pas beaucoup, il ne manque pas dans le quotidien, mais il manque dans l’idée qu’on ne fera plus jamais rien ensemble », a cependant répondu son ami Gérard Jugnot.
« D’ailleurs, il n’a jamais été autant avec nous que depuis qu’il est parti. On y pense tout le temps, d’abord parce que les gens vous y refont penser », a fini par avouer Josiane Balasko.
Il n’y a plus qu’une chose à dire :