Les Tuche : bientôt un 4ème volet ?
En seulement quelques années, le film les Tuche est devenu un phénomène. À tel point qu’en 2018, il rassemble 5 millions d’entrées au cinéma ! Alors, devant ce succès phénoménal, le réalisateur Olivier Baroux réfléchit sérieusement à une suite.
Les Tuche, un succès phénoménal
Le 31 janvier 2018, les Tuche 3 sort dans les salles. Et c’est un succès immédiat autant qu’inespéré puisqu’il rassemble 5,6 millions de spectateurs dans tous les cinémas de l’Hexagone. Une audience phénoménale qu’aucun autre film ne réussira à réaliser. Alors, devant l’impact de cette trilogie, le réalisateur Olivier Baroux s’exprime au micro d’RTL.
« Je vis très bien le succès même si je suis plutôt une personne qui avance, donc je ne reste pas à regarder les chiffres pendant des mois en disant ‘Olala, j’ai fait 5 687 098 spectateurs’ tous les matins. Je suis déjà passée à autre chose. Je suis content et je voulais le dire que d’autres films ont fait de gros succès, comme par exemple le Grand Bain. C’est très bon et c’est très bien pour le cinéma français.»
Les Tuche, bientôt une suite ?
Alors évidemment, devant le succès retentissant que rencontre la famille Tuche, la question d’un quatrième opus se pose. Et à ce sujet, c’est Jeff Tuche en personne qui répond. « On est dessus. On réfléchit en tout cas. Mais il faut qu’on soit honnête avec notre écriture. On ne le fera que si on est pleinement satisfait. Peut-être qu’on y arrivera pas. » Et il continue « lorsqu’on a fait la tournée en province, on a vu des salles remplies de gens qui ne vont pas au cinéma, parce qu’ils n’ont pas les moyens. C’est leur sortie l’année. On ne peut pas décevoir ces gens, il faut qu’ils soient heureux quand ils viennent et donc, c’est notre seul moteur. »
Quant au réalisateur, Olivier Baroux, ce dernier déclare : « on est dessus, on est même très fortement dessus. On se donne un an à partir d’aujourd’hui pour avoir un scénario. » Alors, après Monaco les États-Unis et l’Élysée, à quoi peut-on donc s’attendre ? « C’est trop tôt pour en parler mais je pense qu’on a une bonne idée il faut qu’on essaie de la creuser maintenant. »