Destination finale revient dans un roboot préparé par les scénaristes de Saw
Dans les années 2000, Destination finale c’était l’un des films à ne pas manquer. Devenu culte, l’ensemble de la saga rapporte pas moins de 700 millions de dollars de recettes dans le monde entier. Alors aujourd’hui, et après huit ans d’absence, les scénaristes de Saw décident de le faire revivre à l’écran et préparent un sixième volet.
Destination finale, une saga extrêmement coûteuse à tourner
Ce fut l’une des sagas les plus couronnées de succès durant les années 2000. Jusqu’à 2011, ce seront même cinq volets de Destination finale qui se succéderont au cinéma avec toujours ce même effet de stress, d’adrénaline et d’horreur. Mais depuis huit ans, personne n’a osé faire revivre cette saga culte. Pour Tony Todd qui jouait le croque-mitaine dans l’un des opus de la saga, la raison est relativement simple.
« J’ai été surpris, mais je sais bien pourquoi ils n’ont pas fait de suite. Ce sont vraiment des films coûteux à tourner. Rien que les scènes d’accidents, prenez par exemple celle du grand carambolage dans le deuxième épisode, ça nous a bien pris cinq semaines de tournage pour au moins 20 millions de dollars.
Et il y a à côté des films comme Annabelle, qui se focalisent juste sur une poupée, qui peuvent être fabriqués pour bien moins cher et quand même rapporter beaucoup d’argent. »
Destination finale, le retour
Seulement voilà, après huit ans d’absence, Hollywood s’associe à Patrick Melton et Marcus Dunstan, les scénaristes de Saw. Plus d’horreur ? En tous les cas, avec le progrès de ces dernières années en matière d’images animations, on doit forcément s’attendre à quelque chose de furieusement flippant. Côté histoire, nous n’avons pour le moment aucune info. Mais a priori, il ne devrait pas trop s’écarter du canevas initial qui a fait le succès de Destination finale.
À savoir : un personnage qui a une vision prémonitoire d’un accident et qui disparaît, comme ses proches, dans de terribles souffrances. Et à vouloir modifier le cours des choses, il finit par s’attirer les foudres de la faucheuse qui réussit, évidemment, à chaque fois son coup.