Blague du jour : il se fait faire des chèques avec lui et sa nouvelle femme pour payer la pension de son ex 🤣
Chaque jour, Le Tribunal du Net vous raconte une blague qui vous fera sourire. Partagez-la à vos proches et à vos ex !
Jean, un homme rongé par l’amertume après sa séparation, décide de se venger avec une créativité mordante et une ironie cinglante. Obligé de verser une pension alimentaire à son ex-compagne, il trouve cette situation insupportable. Mais Jean, toujours prêt à transformer la vie en une farce cruelle, concocte un plan diabolique : créer des chèques personnalisés.
Ces chèques ne sont pas de simples bouts de papier, mais de véritables œuvres d’art sarcastiques. Chaque mois, son ex reçoit un chèque illustré de photos particulièrement humiliantes, mais cette fois-ci, ce sont des photos de Jean avec sa nouvelle compagne.
Ils y apparaissent dans des situations ridicules et exagérément affectueuses. Un mois, c’est une image d’eux déguisés en clown lors d’une fête foraine, le mois suivant, une photo d’eux en tenue de léopard assortie, avec des légendes acérées comme « Merci pour ces moments inoubliables. »
Les employés de la banque, contraints d’encaisser ces chèques, deviennent les spectateurs involontaires de cette comédie tragique.
Chaque nouveau chèque suscite à la fois l’amusement et l’horreur, transformant leur routine en un véritable feuilleton. La situation devient si grotesque que la banque décide de créer une exposition de ces « chefs-d’œuvre » dans la salle d’attente, offrant ainsi aux clients une distraction morbide.
Son ex-compagne, poussée à bout, menace de poursuites judiciaires. Jean, fidèle à son humour noir et cynique, envoie un dernier chèque : une photo de lui et sa nouvelle compagne arborant des sourires narquois, avec en arrière-plan un message écrit en rouge : « Merci pour le divertissement. À la prochaine. »
Évidemment, la police finit par intervenir, mettant un terme à ce spectacle absurde. Mais même après l’intervention des forces de l’ordre, la légende de ces chèques inoubliables persiste, et les employés de la banque se remémorent cette époque avec une ironie nostalgique et un sourire complice.