Blague du jour : Un assassin participe aux Jeux olympiques
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Il était une fois un célèbre assassin connu sous le nom de Hitman, ou Agent 47 pour les intimes. Reconnu pour son crâne rasé et son code-barres tatoué, il était redouté dans le monde entier. Mais cette année, il avait décidé de participer aux Jeux olympiques, non pas pour l’or, mais pour l’adrénaline de la compétition.
Pour ne pas être reconnu, il avait opté pour une perruque de cheveux gris, des lunettes à monture dorée et une moustache fine qui lui donnait un air distingué. Ainsi déguisé, il se présenta à l’épreuve de tir, confiant en ses compétences inégalées. Dès le début, il dominait la compétition, éliminant les cibles avec une précision chirurgicale qui laissait les spectateurs ébahis. Ses concurrents, bien que talentueux, ne pouvaient rivaliser avec son expérience d’assassin professionnel.
Cependant, lors de la finale, un jeune tireur d’une vingtaine d’années fit sensation. Avec un calme olympien et une précision redoutable, il réussit à égaler, puis à surpasser Hitman. La tension était palpable. Chaque tir était décisif. Finalement, dans une dernière salve spectaculaire, le jeune tireur décrocha l’or, laissant Hitman à la deuxième place.
Enrageant intérieurement, mais souriant extérieurement, Hitman accepta sa médaille d’argent, jaloux de ce jeune prodige. « Comment ai-je pu me laisser surpasser ? » se demandait-il en retournant vers les vestiaires, sa perruque grise légèrement de travers.
Mais la surprise de la journée n’était pas encore terminée. Alors qu’il s’apprêtait à quitter discrètement le stade, un officiel des Jeux olympiques l’arrêta. « Monsieur, nous avons remarqué une anomalie avec votre équipement. Pourriez-vous nous suivre, s’il vous plait ? »
Hitman, habitué à se sortir de situations délicates, accepta calmement. Il fut conduit dans une salle où se trouvait le jeune tireur médaillé d’or, sans sa perruque blonde cette fois. Hitman réalisa avec horreur qu’il venait de perdre face à… lui-même ! Le jeune prodige était en fait un de ses clones, un modèle plus jeune, qui avait été secrètement entrainé pour surpasser l’original.
« Bravo, vieux frère, » dit le clone avec un sourire moqueur. « Tu m’as toujours appris à viser haut. »