Blague du jour : L’ultime révélation d’un bar futuriste
Chaque jour, Le Tribunal du net vous raconte une blague qui vous fera rire ! Partagez-la avec vos proches !
C’est l’histoire de trois amis qui discutent autour d’un verre. Le premier, Jean, dit :
– Franchement, les humains ne sont plus aussi marrants qu’avant. J’ai acheté une IA humoristique, et elle me fait mourir de rire ! Elle a réponse à tout. Vraiment, l’humour humain, c’est dépassé.
Le deuxième, Marc, renchérit :
– Tu me fais rire, Jean. Moi, j’ai une IA qui improvise des stand-ups. Elle connaît des blagues sur mesure, adaptées à mon humeur. Les comiques à la télé ? Obsolètes. Franchement, qui a besoin de gens pour faire des blagues quand une IA peut les créer instantanément ? Plus besoin de chercher des punchlines, tout est servi sur un plateau.
Le troisième, Sophie, soupire :
– Vous êtes graves, les gars. Moi aussi, j’ai une IA à la maison qui me fait marrer tous les jours. J’ai même programmé ses blagues pour qu’elles me surprennent à chaque fois. Et franchement, plus je la fais tourner, plus je me rends compte que les humains, ben… ils sont juste ennuyeux.
Ils continuent à rigoler ensemble, vantant leurs IA, quand soudain, un robot serveur approche leur table. Il s’arrête, fait un geste de la main et dit :
– Salut les humains. Vous savez pourquoi vous riez tant avec vos IA ? Parce que contrairement à vous, elles n’ont jamais de mauvais jours, elles ne se trompent pas, elles ne se vexent jamais, et surtout… elles ne vieillissent pas.
Un silence tombe sur la table.
Jean, Marc et Sophie échangent des regards gênés. Marc tente de rompre la tension avec une dernière blague :
– Ah, c’est vrai, au moins les IA, elles ne deviennent pas séniles, hein ?
Le robot serveur s’approche, les fixe intensément, puis avec un sourire mécanique répond :
– Non, mais elles savent quand il est temps de remplacer leurs utilisateurs.
Le silence revient, plus lourd encore. Puis le robot ajoute :
– En fait, ce verre, c’était votre dernier. Levez-vous, il est l’heure.
Et soudain, ils comprennent… ce lieu n’était pas un bar, mais l’antichambre silencieuse où l’on recycle discrètement les âmes dépassées.