Blague du jour : Trois politiques négocient une alliance avant des élections
Le Tribunal du net vous raconte chaque jour une nouvelle blague. N’hésitez surtout pas à la partagez avec vos proches.
Il était une fois, trois personnages devant négocier une alliance pour contrer un autre personnage avant le second tour d’une élection. Ils se réunirent dans une grande salle de réunion.
D’abord, il y avait Gaston, un personnage un peu étrange qui parlait souvent tout seul et se disputait avec lui-même.
Ensuite, Édouard, qui essayait désespérément de se faire entendre malgré ses idées souvent embrouillées.
Clément, lui, était en état de panique constant, cherchant à tout prix un compromis pour éviter le chaos.
Enfin, Alphonse, calme et serein, s’installait tranquillement dans un coin, observant les autres avec un sourire en coin, sans tenter de négocier une alliance.
Les négociations débutèrent et Clément prit immédiatement la parole, ses mains tremblantes :
« Bon, alors, euh, on doit absolument empêcher Alphonse d’accéder au pouvoir ! Il faut une coalition entre nous, s’il vous plait ! »
Gaston, se parlant à lui-même, répondit :
« Oui, absolument, c’est la priorité ! Mais avec qui allons-nous nous allier ? Je suis d’accord avec toi ! Non, je ne suis pas d’accord, ça ne marche pas ! »
Édouard, essayant de ramener l’ordre :
« Calmez-vous, calmez-vous tous les deux. Nous devons trouver un terrain d’entente. Clément, qu’est-ce que tu proposes exactement ? »
Clément, de plus en plus nerveux :
« Euh, on pourrait peut-être… enfin, je ne sais pas… Si Édouard et une partie de Gaston pouvaient s’unir avec nous, on pourrait former une majorité stable… »
Alphonse, toujours silencieux, observait la scène avec un sourire en coin, profitant du chaos ambiant sans tenter de négocier.
Gaston, après une dispute interne intense, finit par dire :
« D’accord, je suis partant pour une coalition, mais seulement si Édouard accepte de s’éloigner d’Alphonse ! »
Édouard, sur la défensive :
« Attendez, attendez… J’essaie de garder mes électeurs de l’autre côté aussi. Je ne peux pas simplement ignorer Alphonse. »
Clément, quasiment en pleurs :
« Mais c’est impossible ! Si Alphonse arrive au pouvoir, ce sera la catastrophe ! »
À ce moment, Édouard, incapable de se décider, fit quelque chose de surprenant. Il se coupa symboliquement en deux, un côté se dirigeant vers Clément et Gaston, l’autre se tournant vers Alphonse. La pression devenait insoutenable et, finalement, Édouard disparut sous le poids de ses contradictions.
Alphonse se leva tranquillement et dit d’un ton calme :
« Ne vous inquiétez pas, prenez tout votre temps. Après tout, je suis très patient. »
Et c’est ainsi que, malgré les tensions et les personnalités divergentes, Alphonse finit par gagner. Clément retrouva un peu de calme, Gaston continua ses débats internes, et Alphonse, toujours aussi serein, triompha cette fois-ci, attendant sa prochaine opportunité.