Quels changements pour les automobilistes à compter du 1er avril ?
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Le 1er avril marque notamment la baisse des prix à la pompe, pour le plus grand bonheur des automobilistes !
1er avril = encore plus de verbalisations ?
Des changements à la pelle ! Comme le 1er janvier, le 1er avril est synonyme de changements sur la route. Des bouleversements qui ne laissent pas les automobilistes indifférents. Pour commencer, cette date marque le début des verbalisations dans les Zones à trafic limité (ZTL). En phase de test depuis le 5 novembre dernier, elles permettent de réguler la circulation dans certaines zones des arrondissements parisiens suivants : le 1er, le 2e, le 3e et le 4e.
Paris : voies sur berge, rue de Rivoli, ZTL… Rachida Dati n’exclut pas de tout revoir si elle est élue maire
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Ainsi, seuls quelques automobilistes sont autorisés à y circuler. Parmi eux, les résidents, les commerçants, ceux qui y travaillent, ceux qui ont un rendez-vous médical, les visiteurs de proches, les professionnels du dépannage et de l’intervention urgente, les usagers de parkings situés dans ces zones, etc. Bref, sauf exception, les policiers municipaux veilleront désormais au grain et n’hésiteront pas à verbaliser.
Si elles s’avèrent contraignantes pour beaucoup, les ZTL ont un objectif clair : réduire les nuisances sonores et la pollution. Et face au succès de la phase test, il est temps pour les autorités de sévir.
De bonnes nouvelles
Le 1er avril marque aussi la fin de la Loi Montagne, en vigueur du 1er novembre au 31 mars. Pour rappel, elle exige que les véhicules légers, les utilitaires et les camping-cars soient équipés de dispositifs antidérapants amovibles, sécurité oblige ! Les usagers ont donc le choix entre les chaînes, les chaussettes ou encore les pneumatiques adaptés à la conduite hivernale, comme le stipule Autoplus.
Pour finir, le quatrième mois de l’année ne vient pas sans quelques belles surprises !
On pense notamment à la baisse des prix à la pompe. Une bonne nouvelle qui s’explique par l’augmentation de la fabrication par les pays producteurs, qui s’accompagne d’un cours du baril de Brent qui passe de 79 euros à la mi-janvier à 65 euros aujourd’hui. De quoi ravir les automobilistes qui ne crachent évidemment pas sur quelques euros économisés en fin de mois.
