Automobile : UFC Que Choisir révèle le palmarès des meilleurs et des pires modèles de voitures
L’association consommateur UFC Que Choisir a encore frappé. Cette fois, elle s’est intéressée au secteur de l’automobile pour déterminer les meilleurs modèles de voitures et ceux à éviter. Découvrez le top des marques et les mauvais élèves !
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Le secteur automobile évalué
Associé aux associations de défenses des consommateurs belge, espagnole, italienne et portugaise, UFC Que Choisir s’est lancée dans une enquête colossale. Le but ? Connaître la fiabilité des véhicules et déterminer les meilleurs modèles comme les plus mauvais. Avec plus de 43 765 avis sur 373 véhicules et 33 marques différentes, les associations se sont basées sur 16 critères pour évaluer la voiture.
Avec un indice de fiabilité sur 100, découvrez les meilleurs modèles du secteur automobile classés en 5 catégories :
- Toyota IQ avec 97,3/100 pour les citadines ;
- Kia Niro hybride avec 98,8/100 pour les SUV et 4×4 ;
- Toyota Auris avec 99,5/100 pour les compactes ;
- Lexus IS hybride avec 98,4/100 pour les routières ;
- Toyota Prius+ hybride avec 97,8/100 pour les monospaces.
De fait, les meilleures marques de voiture sont Lexus, Toyota et Honda.
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Qui sont les mauvais élèves de l’automobile ?
Parmi les plus mauvais élèves on trouve ces 5 modèles :
- Volkswagen Polo avec 72,5/100 à cause de son « démarrage catastrophique » ;
- Le moteur et les problèmes de frein de la Nissan Qashqai lui valent un 84,2/100 ;
- Lancia Delta (84/100) ;
- Opel Insignia (83,9/100) ;
- Renault Espace (78,5/100).
Même si les marques françaises de l’automobile n’arrivent qu’aux 26e (Renault), 24e (Citroën) et 23e places (Peugeot), le directeur de la communication du Comité des constructeurs Français d’automobiles trouve ces places raisonnables. François Roudier explique sur RTL que « Les groupes français ont décidé de toujours déclarer les problèmes sur leurs modèles, alors qu’ils n’en ont pas l’obligation. Dans les années 2000, déclarer une panne était honteux. Maintenant la transparence prime, c’est devenu un argument commercial pour les constructeurs français » .
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