Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Argent

Paiement à l’horodateur pour le stationnement : c’est bientôt fini !

Publié par Romane TARDY le 26 Nov 2023 à 20:04
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

À Paris, un vent de modernité souffle sur le stationnement. Les horodateurs, longtemps incontournables, cèdent peu à peu la place aux applications mobiles. Plus de la moitié des automobilistes dans la capitale ont déjà adopté cette technologie pratique. Est-ce le début de la fin des horodateurs à Paris ?

À lire aussi : Connaissez-vous cette autoroute sans péage ?

La diminution progressive des horodateurs

Alors que la vitesse maximale autorisée sur le périphérique pourrait bientôt diminuer, le paysage urbain de Paris connaît une transformation notable : le nombre d’horodateurs diminue progressivement.

La vidéo du jour

Il y a quinze ans, Paris comptait plus de 12 500 horodateurs. Aujourd’hui, ce chiffre est tombé à environ 3 750.

Cette diminution de près de 70% en une décennie et demie témoigne d’un changement profond dans les habitudes de stationnement des Parisiens.

horodateur stationnement

À lire aussi : Attention, si vous avez une voiture de cette couleur, vous avez plus de risque d’accident !

L’ascension des applications de stationnement

Les applications de stationnement, comme PayByPhone ou Easy Park, offrent une expérience utilisateur nettement améliorée par rapport aux horodateurs. Elles permettent non seulement de payer le stationnement de manière plus pratique, mais aussi de le gérer à distance, évitant ainsi les contraintes de temps et les tracas liés à la recherche de monnaie ou de l’emplacement de l’horodateur.

Cette commodité est un facteur clé de leur succès. En outre, ces applications offrent souvent des fonctionnalités supplémentaires, telles que des rappels de temps de stationnement ou la localisation des places disponibles.

Les voitures mandatées par la Ville de Paris pour les contrôles n’ont plus qu’à scanner les plaques des véhicules stationnés pour pouvoir comparer avec la base de données des paiements. En cas de fraudes, ils peuvent envoyer directement un FPS, nouvelle version du PV.

Ce procédé s’inscrit dans une tendance plus large de digitalisation des services quotidiens, offrant une solution plus flexible et adaptée au rythme de vie moderne.

À lire aussi : Attention un nouveau radar arrive et il va faire mal à votre porte-monnaie

INSCRIPTION NEWSLETTER TDN

N'oubliez pas de cliquer sur l'email de validation pour confirmer votre adresse email. Si vous ne l'avez pas recu vérifiez dans vos spams.