Kiabi, Primark… : Ces magasins font une grande annonce pour leurs consommateurs
Suivez nous sur Google News
Face à l’inflation grandissante, des enseignes du textile ont décidé d’agir pour les consommateurs. C’est le cas de Kiabi et Primark, qui ont récemment bloqué les prix de certains de leurs produits.
Inflation : Kiabi et Primark décident de bloquer les prix de certains produits
Carburant, alimentation, énergie… Depuis l’été 2021, la France et ses voisins européens sont touchés par une montée historique de l’inflation. Résultat, le pouvoir d’achat des Français est en berne. Face à cette hausse des prix qui concerne de nombreux secteurs, certaines enseignes comme Leclerc, Carrefour ou encore Lidl ont décidé de faire un geste pour les consommateurs en mettant en place un bouclier anti-inflation sur certains produits. C’est désormais au tour d’entreprises du textile de s’y mettre.
En effet, les deux célèbres enseignes Primark et Kiabi ont annoncé faire un geste pour le pouvoir d’achat des consommateurs. La première a indiqué « maintenir les prix de plus d’un millier de produits essentiels pour enfants » sur la gamme automne-hiver. « Nous n’excluons pas de reconduire cette action pour la collection enfant printemps-été », ajoute Primark. Engagement similaire chez Kiabi, l’un des leader du secteur, qui a décidé de bloquer les prix sur près de 140 vêtements homme, femme et enfant afin de garantir des tarifs avantageux à ses clients. « Dès aujourd’hui, Kiabi s’engage à bloquer 140 prix de vos produits de tous les jours… », peut-on lire dans un mail envoyé par l’enseigne. Voilà en tout cas une nouvelle qui devrait être accueillie à bras ouverts par les consommateurs.
Une baisse des marges
Pour proposer aux clients des tarifs avantageux dans un contexte économique délicat, les enseignes Kiabi et Primark sont obligées de baisser leurs marges et d’acheter en plus grande quantité.
L’objectif principal est d’abord de ne pas perdre d’argent, mais aussi d’éviter que les consommateurs ne se tournent vers des concurrents bon marché. « Il faut qu’elles montrent qu’elles sont capables de tenir les tarifs », indique un spécialiste auprès du Parisien.
